Avantde se poser, les avions rasent la plage de Maho Beach, à quelques mètres au-dessus des baigneurs : un véritable spectacle pour les plane spotters (observateurs d'avion) du monde entier. >>> Vous vivrez pleinement cette aventure en prenant un long-courrier depuis Paris ou les États-Unis pour admirer l’atterrissage 2 fois : depuis l’avion et depuis Maho Beach.
Vous êtes ici Accueil / Cockpit / Gérer une perte partielle de puissance après décollage Une étude australienne sur les pertes partielles de puissance moteur après décollage sur monomoteurs à pistons. En 2013, le bureau australien de la sécurité des Transports ATSB a publié une étude portant sur la gestion d’une perte partielle de puissance après décollage, sur monomoteur ». Il s’agissait d’attirer l’attention des pilotes et instructeurs aux risques d’une perte partielle de la puissance en montée initiale, et ce sur monomoteur. Ceci faisait suite à des accidents liés à des décrochages ou pertes de contrôle dans de telles conditions. En voici une traduction libre » de l’essentiel de son contenu. Gérer une perte partielle de puissance après décollage sur monomoteur Si la perte totale de la puissance fait partie des exercices lors de la formation des pilotes, l’étude a montré que durant et juste après le décollage, une perte partielle de puissance moteur avait trois plus d’occurrences d’intervenir qu’une panne totale. De plus, l’ATSB a enregistré 9 accidents mortels entre 2000 et 2010 suite à des pannes partielles contre 0 accident mortel dans le cas de pannes totales. Si l’une des raisons de cette différence provient du fait qu’une panne partielle est plus exigeante à gérer, suite aux choix auxquels se trouve confronté le pilote avec des décisions à prendre immédiatement, cela n’explique pas tout. Un autre facteur serait lié à la formation. La perte totale de puissance après décollage fait partie du cursus du pilote VFR mais ce n’est pas le cas d’une perte partielle de la puissance, ou du moins pas de façon aussi poussée. L’ATSB soulignait la difficulté d’un entraînement à la perte partielle de puissance du fait de la multitude de situations possibles variabilité de la puissance résiduelle et fiabilité dans le temps d’où la nécessité d’attirer l’attention des pilotes pour qu’ils soient mieux préparés à ce type de situation. Le document met en avant la stratégie à mettre en place, consistant à – anticiper la prise de décision avant le vol pour les urgences et les situations anormales sur l’aérodrome utilisé, – réaliser de façon attentionnée la visite prévol et les essais moteur pour réduire le risque de panne partielle, – avoir une réaction positive pour conserver le contrôle de l’appareil lors du retour au terrain ou lors de l’atterrissage forcé, en prenant en compte l’énergie à l’arrondi et la vitesse de décrochage. Panne partielle pendant ou après le décollage Une panne partielle de puissance intervient quand la puissance délivrée est inférieure à celle demandée par le pilote mais supérieure à celle du ralenti. Une panne partielle de puissance après décollage est à prendre en considération quand l’appareil a quitté le sol, se trouvant en montée initiale, généralement sous la hauteur de circuit de piste, tout en étant proche de l’aérodrome. Une panne moteur totale précédée d’une panne partielle fait partie des cas étudiés durant cette étude. Les causes d’une panne partielle peuvent être – des problèmes mécaniques du moteur, – des circuits air ou carburant obstrués, une combustion incomplète, un manque de carburant, un problème d’allumage… – un blocage mécanique des manettes de gaz, comme un câble de commande bloqué ou rompu. Du 1er janvier 2000 au 31 décembre 2010, l’ATSB avait enregistré 242 événements dont 9 mortels dont 75 avec panne totale. Il en ressort qu’une panne partielle est plus complexe et plus fréquente qu’une panne totale. Le scénario de la panne partielle est plus complexe à gérer. Le pilote doit prendre la décision difficile de poursuivre le vol ou de réaliser un atterrissage forcé. La prise de décision peut être fortement influencée par le fait que le moteur délivre encore de la puissance, même si cela reste non fiable. La tendance à vouloir revenir au terrain est grande. Préparation du vol et auto-briefing – Prépavol Durant une panne partielle de puissance après décollage, le pilote doit prendre une décision pour gérer la situation sous conditions de stress, d’incertitude, de forte charge de travail et pression temporelle élevée. En prenant en compte certaines données comme la direction du vent, les options pour atterrir sur et en dehors du terrain, devant et derrière l’avion, vous pourrez diminuer votre charge mentale si une panne partielle intervient. Avoir préparé un plan peut aussi diminuer les effets de la décision à prendre sous stress. Avoir planifié au préalable votre réaction en conditions calmes vous permettra de mieux mettre en place les actions à faire si une situation d’urgence intervient. Il est donc recommandé de prendre en compte une possible panne partielle de moteur dans son plan d’action et sa stratégie de gestion des erreurs et des menaces. Votre préparation doit donc s’intéresser aux points suivants – le QFU de la piste et le meilleur choix en cas de virage de retour, – la force et la direction du vent au moment du décollage, – les obstacles et le relief, – les points de décision selon la hauteur et les performances pour différentes options d’atterrissage sur le reliquat de piste, en dehors de l’aérodrome, en effectuant un virage de retour. Éviter une panne partielle de moteur – Auto-briefing Tous les pilotes, y compris sur monomoteurs, doivent se faire leur propre briefing Sécurité à chaque décollage. Ce briefing est important car il vous remémore les actions planifiées en cas d’urgence comme une panne partielle de puissance. – Visite prévol L’ATSB a noté de nombreux événements où il y avait la preuve de la détection d’une anormalité dans le fonctionnement du moteur, ou qu’un problème aurait dû être détecté et empêcher tout décollage. Prévenir est meilleur que guérir. Les essais moteur constituent un important filet de sécurité pour éviter tout problème moteur après décollage. Certains cas ont révélé une absence de carburant, ou une contamination de ce dernier entraînant des problèmes moteur après décollage, suivis d’une panne totale qui aurait pu être évitée par une meilleure visite prévol. Celle-ci doit comprendre le moteur et le circuit carburant. D’où l’importance de purger tous les points prévus à cet effet. Vérifier l’absence de fuite une fois les purges remises en place. L’absence de fuite, une bonne sélection du réservoir avant décollage, la vérification que les bouchons de réservoir sont bien en place correctement fermés sont des points importants. Connaissez bien le circuit carburant de votre avion et les consignes du constructeur. De nombreux accidents ont été dus à une mauvaise sélection ou une sélection imparfaite du bon réservoir. Dès qu’il y a au moins deux réservoirs, ce point est capital. Vérifiez bien le réservoir opérationnel avant le décollage. La contenance doit être vérifiée de plusieurs façons et non pas une seule visuelle, par vérification sur le carnet de route, par jauge, etc. – Évitez la distraction Une rupture de procédure prévol par distraction ou sous la pression temporelle peut entraîner des oublis. Prévenir vos passagers que la visite prévol ne doit pas être perturbée, ou dans le cas contraire, revenez en arrière pour être certain de ne rien oublier. Un quart des pertes de puissance sont survenus lors de séances de touchés-décollés, suite à des pannes d’essence. Même lors de courts vols, une gestion carburant est nécessaire avec un bilan avant décollage et une durée maximale du vol. Certains accidents sont dus à une panne moteur au décollage après avoir consommé le reliquat de carburant dans les canalisations… Des essais moteur méthodiques doivent supprimer ce type de cause. – Essais moteur sur le réservoir prévu Il est important que le circuit carburant ne soit pas modifié entre les essais et le décollage. Il faut donc utiliser pour décoller le réservoir testé lors des essais moteur, pour minimiser les risques de dysfonctionnement. Effectuez des essais moteur méthodiquement. Des accidents ont eu lieu après que les pilotes aient noté des anomalies à régime élevé avant décollage, tels que des vibrations ou à-coups. D’où l’importance de bien noter la chute des tours aux essais magnétos et à l’application du réchauffage carburateur. Vérifier les pressions d’essence et d’huile ainsi que la température de cette dernière. L’ATSB a noté des bougies noyées, des problèmes de givrage carburateur, des fonctionnements non réguliers du moteur sans que la cause ne soit identifiée. – Un briefing Sécurité Déjà évoqué, ce dernier doit logiquement intervenir après les essais moteur, peu avant l’alignement. Il alimente la mémoire courte, en récapitulant les différentes options selon la situation rencontrée. – L’accélération initiale Un problème moteur peut parfois ne pas être détecté lors des essais moteur mais survenir à l’application totale de la puissance lors du décollage. Il faut évaluer l’accélération de l’appareil en fonction de la distance parcourue, en comparant avec de précédents décollages. Des cas ont montré des symptômes de perte de puissance dès le roulage avant la rotation régime moins élevé que prévu, pétarades, accélération molle, mauvais réglage de la manette de pas ou de réchauffage carburateur, etc. Les pilotes ont pourtant poursuivi le décollage… Il est recommandé d’utiliser la totalité de la piste et d’éviter un alignement à partir d’une intersection, pour vous donner plus de latitude pour atterrir devant vous ou dans un champ si le moteur perd de la puissance après décollage. – Accélération-arrêt Des pilotes ont abandonné le décollage, dès l’application de la pleine puissance ou juste avant la rotation. Un tiers des pilotes l’a fait à la vitesse de rotation avec au moins la moitié de la piste déjà atteinte. Un quart des cas sont intervenus lors de touchés-décollés. Sur les 24 accélérations-arrêts, 20 n’ont entraîné aucun dommage et 4 des dommages mineurs, avec des dommages matériels aile, hélice, train…. Un quart des accélérations-arrêts ont été suivies d’une sortie longitudinale ou d’un cheval de bois pour éviter la sortie de piste. Ainsi, il est important de noter tout problème avant la vitesse de rotation. – Éviter la pression La pression peut entraîner un pilote à décoller sans avoir réglé un problème. C’est identique au syndrome de destinationite » avec la poursuite du vol dans le mauvais temps. Si vous ne savez pas, ne décollez pas Gérer une panne partielle après décollage Une panne partielle peut entraîner une puissance très faible à une puissance proche des paramètres normaux. La priorité doit être donnée au contrôle de l’appareil et non pas à l’analyse des problèmes. – Maximisez la hauteur ou minimiser la distance Monter à la vitesse de meilleur taux de montée ou de meilleur angle, selon l’avion et le lieu, doit maximiser vos options en cas de panne partielle. Les actions initiales à faire sont les suivantes – abaissez le nez de l’appareil pour conserver la vitesse de plané, – réalisez une analyse de panne comme si cette dernière était totale. Ceci uniquement si vous avez suffisamment de temps. – conservez la vitesse de plané et vérifiez si l’avion peut maintenir, gagner ou perdre de la hauteur en fonction des paramètres. Ceci vous renseignera sur les options disponibles. – pilotez l’appareil pour atterrir, en fonction de la hauteur et des performances, et les trajectoires prévues pour un tel scénario. Si un virage est entamé, n’oubliez pas que l’inclinaison augmente la vitesse de décrochage. Volez symétrique pour limiter le taux de chute. Avoir une hauteur minimale pour entamer un virage est recommandé. – réactualisez les options d’atterrissage au fil du temps. Prenez des décisions mais soyez prêt à modifier votre plan si nécessaire. – atterrissez. Ayant une hauteur minimale pour avoir les ailes à l’horizontale 200 ft/sol minimum recommandés, en fonction du taux de roulis, de la vitesse et de l’expérience du pilote. Maintenez la vitesse de plané jusqu’à l’arrondi pour avoir assez énergie pour diminuer le taux de chute. – Les scénarios disponibles Trois décisions sont possibles en cas de panne partielle après décollage – atterrissage forcé ou de précaution dans l’enceinte de l’aérodrome après décollage, – atterrissage forcé ou de précaution en dehors de l’aérodrome, – virage de retour vers l’aérodrome avec atterrissage forcé hors aérodrome ou atterrissage forcé sur l’aérodrome selon les cas. Sur les 242 cas de pannes partielles entre 2000 et 2010, deux tiers des pilotes ont fait demi-tour. Sur ces 160 cas, 145 ont réussi à revenir au terrain de départ. Dans 19% des cas, un atterrissage forcé ou de précaution a été mené et 22 sur 48 cas ont atterri dans l’enceinte juste après décollage. 10% des cas ont entraîné une accélération-arrêt avant de quitter le vol. Dans 10 cas, le pilote n’a semble-t-il pas mené d’action spécifique, suivi d’une collision avec le sol, dont 7 avec perte de contrôle. – Maintenez la vitesse de plané Le plus important est de maintenir une bonne vitesse pour éviter un décrochage et avoir de l’énergie pour gérer l’arrondi. L’essentiel est de savoir où va l’appareil, de maintenir le contrôle et développer une conscience de la situation. Le schéma suivant donne les hauteurs auxquelles la panne a été annoncée ou détectée. Le nombre d’atterrissages forcés est nettement plus élevé quand on se trouve dans la tranche du sol à 250 ft plutôt qu’au-dessus de 250 ft, quand la décision de faire demi-tour a été prise. Il est probable que la plupart des atterrissages forcés n’étaient que la seule option, l’appareil étant incapable de maintenir sa hauteur et le pilote n’ayant pas assez de hauteur pour manoeuvrer. Sur les 10 cas où le pilote n’a pas réagi, 4 ont entraîné des décès. Ces accidents sont surtout survenus avec l’appareil poursuivant tout droit, diminuant sa vitesse pour maintenir une hauteur, avant une perte de contrôle avec décrochage ou vrille, ou la collision avec des obstacles tels des arbres. Prenez des décisions avant vol pour anticiper une panne, afin de réduire votre charge de travail et vous aider à faire la bonne action. Soyez clair avec vous-même et avec vos passagers sur votre plan d’action prévu. Dans 8 cas sur 232, le pilote a mené une action menant à une perte de contrôle. Mais il n’y avait pas de décision claire et d’action en conséquence, si ce n’est de piloter jusqu’à la collision avec un obstacle ou le sol. Les hauteurs où une perte partielle de puissance n’a entraîné aucune action apparente du pilote se trouvent entre 50 et 100 ft. Atterrissage forcé ou de précaution sur l’aérodrome 22 cas ont été relevés avec atterrissage dans l’axe ou légèrement décalé par rapport à la piste, décision prise entre 25 et 150 ft. 5 cas avec l’appareil à hauteur de circuit ou hors du périmètre du terrain mais apte à rejoindre une autre piste. Sur les 27 cas, 2 ont entraîné des blessures graves et 3 des blessures légères, mais aucun accident mortel. Seulement des dommages matériels après sortie de piste. Quelques points à noter pour réduire les risques plus tôt la puissance est réduite, plus grande est la distance disponible pour atterrir. Tout virage augmente le risque d’un décrochage et celui de toucher le sol d’une extrémité d’aile. la sortie des pleins volets est recommandée si possible car cela diminuer la vitesse sol au contact. Mais cela peut aussi réduire l’efficacité du freinage et augmenter l’effet de sol notamment sur avions à ailes basses. Atterrissage forcé ou de précaution hors aérodrome Si la panne intervient après le décollage et dans les limites du terrain, il peut être plus approprié de poursuivre hors du périmètre de l’aérodrome dans certaines conditions, notamment en l’absence de surface acceptable pour atterrir. 21 cas seulement ont été notés pour un pilote menant un atterrissage forcé ou de précaution hors limites de l’aérodrome avec 1 accident mortel et 3 accidents avec blessures légères. L’accident mortel est dû à un amerrissage, avec faibles dommages à l’avion mais un des passagers s’est noyé après avoir quitté l’avion. Pour tous ces cas, la panne a généralement été détectée vers 200 ft/sol. Les rapports d’accidents montrent que les pilotes ont parfois utilisé la puissance résiduelle pour mener leur approche, mais vous devez considérer que votre moteur peut vous lâcher à tout moment. Il faut donc conduire l’atterrissage comme si vous n’aviez aucune puissance, pour annuler toute incertitude. Les pilotes sont plus entraînés à gérer une panne totale. Utilisez la structure de l’appareil pour minimiser les dommages. Priorité à la survie des passagers et au pilote, sans considération pour l’appareil. Utilisez le train ou les ailes pour absorber l’énergie à l’impact, sur des obstacles, pour décélérer l’appareil. Évitez un contact direct du fuselage avec un obstacle. Virage de retour vers l’aérodrome Avec l’urbanisation autour de certains aéroports et l’absence de surfaces acceptables pour atterrir, une autre option peut être un retour vers le terrain tout en envisageant un atterrissage forcé. Si suffisamment de puissance est là pour tenir une altitude, cette option devient possible tant que l’appareil peut également être posé hors terrain sur la trajectoire le ramenant au terrain. L’option est à éviter dans certains cas fort trafic, obstacles, composante de vent non favorable, risques de décrochage… Un bon plan de retour au terrain ne doit pas placer l’appareil dans une situation plus risquée que celle d’un atterrissage forcé conduit hors limites de l’aérodrome. Les quatre points à prendre en compte pour justifier un demi-tour sont – de la hauteur disponible, – de la puissance encore suffisante assez pour monter ?, – une vitesse de décrochage accrue avec l’angle d’inclinaison augmente le risque de décrochage, – un niveau de confiance suffisant dans la puissance restante, tout en considérant que le moteur peut lâcher à tout instant. Le pilote, pour son plan d’action, doit – évaluer la nature du terrain à survoler, meilleure ou pire que celle d’un atterrissage dans l’axe, ainsi que la vitesse sol à l’atterrissage si le vent est fort. – maintenir la vitesse de plané sans chercher à maintenir une hauteur, afin d’avoir des marges en cas de virage à inclinaison modérée. – optimiser le taux de virage avec une inclinaison maximale acceptable. Avec le facteur de charge et une augmentation du taux de chute, le retour au terrain peut être compromis surtout si la puissance varie sans prévenir. Évitez les risques d’un virage à faible hauteur. N’augmentez pas l’inclinaison pour augmenter le taux de virage. – définir une hauteur minimale où les ailes devront être horizontales pour l’atterrissage 200 ft minimum. – piloter l’appareil et constamment analyser les options pour atterrir en cas de panne totale du moteur. Observer l’environnement devrait prendre au moins 85% du temps, 10% pour vérifier la hauteur de l’avion et 5% pour contrôler l’instrumentation altimètre et anémomètre. Si l’analyse montre qu’il n’est pas possible de revenir au terrain au vu du taux de chute, un atterrissage forcé doit être prévu. Durant le virage de retour, il faut considérer que le meilleur taux de virage en fonction de la perte de hauteur est d’environ 45°, avec une vitesse de décrochage accrue de 19%. Pour conserver la vitesse de plané, le nez sera abaissé pour diminuer la traînée induite. Prenez en compte la distance à parcourir durant le virage. Soyez prêt à stopper le virage et atterrir dans l’axe si la puissance se détériore. L’ATSB a noté que près des deux tiers des pilotes ont choisi de faire demi-tour après une panne partielle. 94% ont entraîné aucun dommage ou blessure. 19% ont donné lieu à un atterrissage forcé ou de précaution. Parmi ceux-ci, 81% sans blessures. Il y a eu plus de pertes importantes de puissance liées aux atterrissage forcés, la hauteur ne permettant pas un retour. 4 accidents mortels et 1 accident grave sont liés à des pertes de contrôle après le virage, avec décrochage et vrille, et impact avec le sol. Un virage de retour implique un pilotage précis sous fort stress. En cas de décrochage ou départ en vrille, au vu des hauteurs pratiquées, la récupération est peu probable. Avec le fait que de nombreux aérodromes sont noyés dans l’urbanisation, quand hauteur et reliquat de puissance sont suffisants, un retour au terrain est une option moins dangereuse qu’un atterrissage forcé, pour l’équipage et les tiers. Pour les atterrissage hors aérodrome après demi-tour, 15 cas ont été relevés avec la hauteur ne pouvant être conservée. 3 ont entraîné des accidents mortels, tous par perte de contrôle, et 4 ont entraîné des blessures graves. 3 sur 4 accidents graves sont liés à des atterrissages durs plutôt qu’à la rencontre d’obstacles, renforçant l’idée importante de maintenir la vitesse jusqu’à l’arrondi. Un autre accident grave est lié au déploiement du parachute balistique au-dessus de l’eau mais à une hauteur inférieure à celle recommandée par le constructeur, l’avion touchant l’eau avec une assiette presque verticale. Les accidents ci-dessus sont dus à des vitesses faibles ou de forts angles d’inclinaison sans maintenir suffisamment de vitesse pour arrondir. Pour les atterrissages sur l’aérodrome après demi-tour, 145 cas ont été relevés, dont 1 mortel et 1 autre avec blessures graves. Dans le premier cas, le moteur était engorgé et le pilote a perdu le contrôle durant le virage à une hauteur ne lui permettant pas de récupérer la trajectoire. Le second est également intervenu sur perte de contrôle durant un virage serré. 50 demi-tours ont permis un retour au sol en utilisant une autre piste. Ceci doit être envisagé à la préparation du vol. Ceci permet de réduire le virage ainsi que la distance à parcourir. Les avions qui ont réussi ces demi-tours avaient généralement assez de puissance pour maintenir une hauteur voire grimper dans le circuit. Cependant certains avaient assez de hauteur pour revenir en descente avec une puissance partielle. Perte de contrôle 15 des 242 pannes ont entraîné une perte de contrôle. Plus de 50% ont entraîné des décès, après décrochages et vrilles, après diminution de la vitesse, le pilote tentant d’étirer la distance de plané ou de maintenir sa hauteur, ou après un virage serré avec accroissement de la vitesse de décrochage. D’où l’importance de bien connaître son avion et de surveiller vitesse et angle d’inclinaison lors du virage bien symétrique. Si la panne partielle est quasi-totale, le pilote considérera qu’il est en panne totale et agira dans ce sens. À l’autre extrémité, quand la puissance permet quand même de monter, plus d’options sont disponibles pour revenir avec précaution vers l’aérodrome. La difficulté intervient entre ces deux extrêmes comme le montre le schéma ci-dessous. Pour résumer – Des vérifications avant décollage peuvent prévenir une panne partielle. – Une préparation du vol poussée et un briefing Sécurité – Garder le contrôle ♦♦♦ Photo d’ouverture © F. Besse / Pour ceux qui veulent aller plus loin, le lien vers l’étude intégrale.
Rêverd'avion qui décolle, représente un projet que vous mènerez à terme et avec un grand succès. Rêver d'avion de guerre, peut être un présage négatif, qui indique que le destin vous mettra des bâtons dans les roues. Être en retard pour prendre l'avion, signifie que les événements seront en réalité hors de votre contrôle. C Au début de mars 2005, un équipage de l’Escadron de transport de ravitailleurs maritimes 352 VMGR-352 au MCAS Miramar, en Californie, a récupéré un nouveau KC-130J — le quatrième nouvel avion de l’escadron — dans les installations de Lockheed Martin à Marietta, en Géorgie. La conversion en cours de l’unité signifiait que le moment était venu de retirer l’un des anciens appareils de l’escadron. Comme presque tous les autres pétroliers de la flotte du Corps des Marines des États-Unis, le Bureau Numéro 149798 avait connu sa part d’action au Vietnam, en Irak dans l’opération Tempête du Désert, en Afghanistan et en Irak dans l’opération Liberté irakienne. Contrairement à la plupart des autres avions qui avaient servi sa carrière, la destination finale de ce pétrolier spécifique n’était pas d’être le Boneyard de l’avion en Arizona. Cet avion était un peu différent. Lorsque l’équipage du VMGR-352 a arrêté les moteurs de ce KC-130F pour la dernière fois le 1er mars 2005, l’avion était stationné à Forrest Sherman Field, NAS Pensacola, en Floride, où il devait être conservé dans ce qui était alors connu sous le nom de Musée National de l’Aviation navale. Le fait que l’avion ait finalement été mis à la retraite en 2005 est la preuve que je ne l’ai pas trop mal gâché », a plaisanté l’adjudant à la retraite Jim Flatley. À l’automne 1963, Flatley était le pilote qui a atterri pour la première fois ce Hercules particulier sur un porte-avions. Cette idée n’ira nulle part Il y avait des ingénieurs qui prenaient des mesures sur un Hercules et disaient qu’un C-130 allait atterrir sur un porte-avions », se souvient Ed Brennan dans une interview en 1998. » Je ne les croyais pas. Plus tard, mon commandant est venu et a dit la même chose. Je n’y croyais toujours pas, mais j’ai quand même levé la main pour faire du bénévolat. Je n’avais aucune idée de ce dans quoi je m’embarquais. » Brennan, alors un Compagnon Machiniste d’aviation de Première Classe ADR-1, attaché au Premier Escadron de Transport VR-1 au Centre d’essais Aériens de la Marine à NAS Patuxent River, dans le Maryland, lorsque son commandant a fait cette annonce surprenante — le Centre d’essais développait en effet un programme pour faire atterrir un Hercules sur un porte-avions. Et Brennan, avec ADR-1 Al Sieve, allait être les deux ingénieurs de vol affectés au projet. L’idée de prendre un gros avion d’une envergure de 132 pieds et de l’atterrir sur ce qui est souvent décrit comme un timbre-poste semblait farfelue. Cependant, il y avait une exigence opérationnelle légitime de tester l’aptitude du transporteur Hercules. Le était un besoin d’urgence pour ravitailler un transporteur opérant au milieu de l’océan Indien, une opération courante aujourd’hui mais une exigence imprévue il y a quarante décennies. Le Grumman C-1 Trader, alors le transporteur de livraison à bord de la Marine, ou COD, transport, n’avait pas la portée requise et ne pouvait pas transporter une charge utile surdimensionnée comme un moteur à réaction General Electric J79, qui alimentait à la fois l’avion d’attaque / de reconnaissance Nord-américain A-5 / RA-5 Vigilante et le chasseur bombardier McDonnell Douglas F-4 peuplant les ponts d’envol à l’époque. Le C-130 avait à la fois une portée et une capacité de transport de fret, de sorte que l’idée d’un Super COD est née. Une fois le projet mis en œuvre, le personnel du Centre d’essai devait décider s’il fallait que les pilotes ayant une expérience multimotrice apprennent à atterrir sur un porte-avions ou que les pilotes d’essai ayant une expérience d’atterrissage sur un porte-avions apprennent à piloter des avions multimoteurs. L’expérience du transporteur a gagné. Soit j’étais dans la partie droite de la ligne, soit les autres pilotes ont dit Donnez celui-ci à Flatley. Cela n’ira nulle part , a déclaré le lieutenant Flatley, le nouveau pilote d’essai choisi pour diriger le projet. En test en vol, vous devez gagner vos éperons. Je venais de me présenter à la Direction de l’aptitude des transporteurs à Pax River et c’était mon premier projet en tant que pilote d’essai. C’était une mission assez unique. » Le lieutenant-commandant W. W. » Smokey » Stovall, pilote d’essai principal d’un autre projet à l’époque, s’est porté volontaire pour être copilote des essais du C-130. L’avion d’essai, le 9798, était en service au MCAS Cherry Point, en Caroline du Nord, et a été choisi au hasard. L’avion a été ramené à ce qui était alors connu sous le nom de Lockheed-Georgia Company à Marietta le 8 octobre. Seules des modifications mineures ont été apportées à l’avion les nacelles de ravitaillement des ailes ont été retirées, un anémomètre de précision a été installé dans le poste de pilotage et le système antidérapant a été remplacé par le type utilisé sur les 727 commerciaux. L’avion a également été équipé d’un orifice de train d’atterrissage avant plus petit, ce qui a permis un dosage plus lent du liquide hydraulique et des touchés plus doux. Le gars le plus critique de l’équipage était le mécanicien de bord, car il en savait beaucoup plus sur l’avion que les deux pilotes de chasse affectés à ce projet à court terme ne le feraient jamais », a noté Flatley. Cela semble un peu cavalier pour un pilote d’essai, mais, à ce moment-là, nous n’étions pas obligés d’apprendre l’avion, juste d’apprendre à le piloter. » Entraînement, Entraînement Le pilote d’essai de Lockheed Ted Limmer a surveillé Flatley et Stovall alors qu’ils effectuaient leur premier vol depuis Marietta pour vérifier les modifications. Limmer a ensuite donné aux pilotes de la Marine leur tour de contrôle sur le chemin du retour à la rivière Pax. L’avion est si beau à piloter et si simple à utiliser et il se débrouille si bien », a rappelé Flatley. La caisse était un morceau de gâteau, surtout avec les maîtres Brennan et Sieve qui faisaient tout le travail et s’inquiétaient. »Flatley et Stovall ont accordé beaucoup d’attention aux caractéristiques de conduite au sol du C-130, puis se sont concentrés sur les caractéristiques de manœuvre à basse vitesse de l’avion dans sa configuration d’atterrissage. L’équipage a commencé à pratiquer les atterrissages à Pax River presque immédiatement. Les ingénieurs de la branche Carrier Suitability ont mis en place plusieurs caméras et sont venus observer les premières pratiques et prendre des mesures détaillées. Pendant la majeure partie des cinquante-cinq prochaines heures de vol, tout ce que nous avons fait était de faire le tour du terrain en pratiquant des atterrissages et des décollages courts », a déclaré Flatley. L’une des choses les plus importantes à accomplir lors des atterrissages d’entraînement était de déterminer la vitesse d’approche optimale du porteur pour le C-130. Alors que la vitesse d’approche normale pour un Hercules est de 115 à 120 nœuds, on a déterminé que le porte-avions s’approche à cinq à six nœuds au-dessus de la vitesse de décrochage pour la masse brute prévue à l’atterrissage. Un deuxième paramètre d’atterrissage qui concernait les pilotes était le taux de descente de l’avion au toucher des roues. Flatley et Stovall étaient habitués à piloter des chasseurs basés sur des porte-avions qui ont un taux de chute d’environ quinze à vingt pieds par seconde, ils étaient donc inquiets de la limite de conception du C-130 de onze pieds par seconde. Même si les données d’essai recueillies au cours des essais sur le terrain indiquaient que le taux de chute n’allait pas poser de problème, les pilotes ne seraient pas convaincus tant qu’ils n’auraient pas effectué les vols d’essai jusqu’au transporteur. L’un des défis majeurs de la phase finale d’une approche porte-avions est de maîtriser la queue de coq, l’air turbulent qui est l’équivalent porteur de l’effet de sol rencontré lorsqu’un aéronef franchit l’extrémité d’approche d’une piste. Si la queue de coq n’est pas bien manipulée, le plus souvent, votre avion a l’impression d’être aspiré dans un trou juste au niveau du pont », a ajouté Flatley. » Il est donc essentiel de pouvoir piloter le planeur souhaité, jusqu’au toucher des roues. » L’équipage a constaté qu’ils pouvaient facilement voler le 3,5 à 4 à 0 degré en approche standard. Il est devenu évident très rapidement que l’atterrissage d’un C-130 sur un porte-avions n’allait pas poser de problème. Même les ingénieurs ont arrêté de venir nous voir s’entraîner , se souvient Flatley. Un voyage parallèle à l’installation de reprise aérienne de la marine à Norfolk, en Virginie, a été effectué afin que les ingénieurs puissent trouver comment faire décoller le Hercules du navire si, pour une raison quelconque, il s’est échoué à bord du navire pendant les essais. Il a été déterminé que la solution la plus pratique serait de faire passer une poutre en I en acier à travers la porte de l’équipage et de percer un trou de l’autre côté du fuselage et de faire passer une autre poutre en I à travers les portes des parachutistes à l’arrière. Ces deux poutres en I seraient ensuite reliées à une troisième poutre en I suspendue au-dessus du fuselage et une grue serait utilisée pour soulever l’avion du pont si le porte-avions pouvait facilement faire bâbord. Si nous étions tombés en panne en mer, les mains de pont auraient soulevé l’avion avec la grue de pont et l’auraient jeté par-dessus bord », pensa Brennan. » J’espère qu’ils nous auraient laissés sortir en premier. » Au bateau Le 30 octobre, l’USS Forrestal CVA-59 naviguait au large des côtes de Floride près de Jacksonville. Un wag à Pax River avait peint Regarde Ma, Pas de crochet » sous les fenêtres du copilote du KC-130 parce qu’il n’y en avait pas. Un crochet d’arrêt, un équipement normal pour un atterrissage de porte-avions, n’aurait pas aidé non plus parce que le poste de pilotage du Forrestal avait été dégagé — les fils d’arrêt avaient été retirés pour éviter l’usure des pneus du Hercules. Le pont était complètement vide car les avions de l’aile aérienne étaient soit transportés à terre, soit stationnés sur le pont du hangar. C’était une journée venteuse et pluvieuse avec un vent de quarante nœuds soufflant en rafales à soixante nœuds et une énorme houle océanique. Le pont se soulevait de vingt pieds de haut en bas , se souvient Flatley. C’est ici qu’un pilote de transporteur avec des connaissances est utile. Toutes les deux minutes et demie environ, quel que soit l’état de la mer, le navire se stabilisera. En raison du vent excessif et de l’état de la mer, nous avons fait quarante-deux approches pour expédier juste pour obtenir dix-neuf atterrissages tactiles. »Ces touch-and-go ont révélé qu’il n’y avait pas de taux de descente supérieurs à cinq pieds par seconde, un fait qui a étonné même les ingénieurs de Lockheed. L’équipage du Hercules a d’abord effectué des attouchements sur le pont incliné de 682 pieds de long du navire, puis est descendu sur le pont axial de 1 017 pieds de long, où, lors du voyage suivant, les atterrissages proprement dits seraient effectués. Le premier vol a duré cinq heures et demie, dont deux ont été passées dans le plan d’atterrissage du Forrestal. Des caméras placées tout autour du poste de pilotage ont enregistré le toucher et le va sous tous les angles. Nous avons eu une session de crâne le lendemain avec les ingénieurs d’essais en vol à l’arrière d’une rivière Pax, et toutes les données semblaient bonnes », note Flatley. Il ne s’agissait alors que de reprogrammer le navire. » Le 8 novembre, Flatley, Stovall, Brennan, Sieve et Limmer s’approchent du Forrestal en cours au large de Cape Cod, Massachusetts. Une large ligne blanche pointillée peinte au milieu du pont axial les a accueillis lors de leur première approche. Le skipper du Forrestal a mis le porte-avions au vent et a ajouté dix nœuds, ce qui a donné à l’équipage de conduite un vent de face de quarante à cinquante nœuds sur la proue. Après avoir effectué les trois atterrissages de touch-and-go d’échauffement, Flatley a été autorisé pour le premier atterrissage à l’arrêt complet. La première approche a été effectuée à soixante-dix-neuf nœuds de vitesse indiquée. L’officier des signaux d’atterrissage de Forrestal a donné à Flatley le signal traditionnel de » coupure » alors que l’avion traversait la descente à dix à quinze pieds dans les airs. Flatley souleva les étranglements au-dessus de la porte et mit les hélices en pas inverse alors qu’il s’installait sur le pont. Au même moment, lui et Stovall se tenaient sur les freins de l’avion de sorte que, lorsque l’avion s’est posé, le KC-130 était en marche arrière complète avec un freinage complet appliqué. Il s’est arrêté à 275 pieds, en fait à l’endroit où le câble d’arrêt numéro quatre aurait été couché. Nous nous sommes arrêtés si peu que ça m’a un peu surpris », a déclaré Brennan. C’était comme atterrir sur une piste normale, mais cette grande île métallique sur le côté du navire juste au-delà du bout de l’aile était un peu effrayante. »C’était la première fois qu’il était sur un porte-avions. Normalement, sur un porte-avions, les marins et les tracteurs déplacent les avions », explique Flatley. Nous avons simplement sauvegardé avec la poussée inverse pour nous préparer au décollage. Vous auriez dû voir les regards sur les visages des mains du pont. » Atterrissages de poids lourds En plus de tester la faisabilité de base de l’atterrissage d’un Hercules sur un porte-avions, le projet a également été conçu pour effectuer des atterrissages à des poids de plus en plus lourds afin de déterminer la taille d’une charge utile qu’un C-130 pourrait embarquer en toute sécurité. Comme l’avion était un pétrolier, le simple fait d’ajouter du carburant supplémentaire augmentait le poids brut de l’avion. Après avoir pris plus de JP-4 pour passer à la masse brute suivante plus élevée, l’équipage a fait monter les moteurs de l’avion, a réglé les volets à soixante-quinze pour cent et a décollé. Il n’y avait que quinze pieds de dégagement entre le bout d’aile du KC-130 et l’île. La seule restriction imposée à l’équipage pendant le décollage était de ne pas faire tourner l’avion avant que le bout de l’aile ne dépasse l’extrémité avant de l’îlot du navire. Sinon, nous aurions pu regarder le capitaine sur sa passerelle lorsque nous avons décollé », ajoute Flatley. Trois autres atterrissages complets ont été effectués le premier jour, suivis de dix atterrissages le 21 novembre et de sept autres le lendemain. Stovall a effectué trois des atterrissages le dernier jour. Un total de vingt-neuf touch-and-go ont été effectués sur les quatre voyages vers le transporteur. Le KC-130 pesait 85 000 livres au premier atterrissage. Par la suite, les débarquements ont été effectués en progression jusqu’à un poids brut de 121 000 livres. À la masse maximale, qui a établi le record de l’atterrissage de l’avion le plus grand et le plus lourd sur un porte-avions de l’US Navy, Flatley et Stovall n’ont utilisé que 745 pieds pour le décollage et 460 pieds pour l’atterrissage. Un atterrissage d’un poids de 109 000 livres a nécessité 495 pieds pour s’arrêter et c’était dans une forte bourrasque. Lors des derniers décollages, l’équipage n’a même pas reculé — il a simplement décollé du point sur le pont où l’avion s’est arrêté. L’équipage a terminé les tests de qualification du porte-avions vers midi le 22 novembre. Nous sommes revenus à Pax River et avons commencé à rédiger le rapport final et à collecter les données statistiques. Nous avons rédigé les procédures recommandées pour que toute autre personne souhaitant atterrir sur un transporteur ait les informations disponibles. Nous avons vaqué à nos occupations et on nous a dit de ne pas en parler , a noté Flatley. Le projet est resté classé officiellement pendant un an, bien que la nouvelle soit rapidement parvenue à la communauté des pilotes. La faisabilité d’atterrir un C-130 avec une charge utile utile sur un porte-avions a été clairement démontrée, mais au final, ce n’était tout simplement pas pratique. Un porte-avions sans avion tactique sur le pont rend un skipper impatient », a noté Brennan. Le capitaine du Forrestal nous a donné deux heures – à la minute – à chaque voyage, puis nous avons dû rentrer chez nous. »Le Grumman C-2 Greyhound, un avion COD plus pratique, est entré en service dans la flotte en 1966. Le reste de l’histoire Stovall a ensuite reçu la Médaille de l’Air pour son travail sur le projet. Il a ensuite commandé une unité de chasseurs de porte-avions au Vietnam et a atteint le grade de capitaine. Il est décédé d’une leucémie en 1973. Brennan a également reçu la Médaille de l’Air. Il est ensuite devenu ingénieur de vol sur P-3 Orions, accumulant près de 7 000 heures de vol. Il a pris sa retraite en 1976 en tant que premier maître après vingt-deux ans dans la marine. Quatre heures après sa cérémonie de retraite, il était dans un avion pour l’Iran pour travailler en tant que représentant du service mobile de Lockheed sur le programme P-3F. Il est ensuite retourné travailler avec des C-130, cette fois avec des HC-130Hs de la Garde côtière en tant que représentant du service sur le terrain de Lockheed à CGAS Elizabeth City, en Caroline du Nord. Il a pris sa retraite en 1998 et est décédé peu de temps après. Sieve a été expédié immédiatement après la fin du programme pour piloter des Lockheed WV-1s – alias Willie Victors -Warning Star airborne early warning aircraft à Argentia Terre-Neuve. Flatley a fait pression pendant des années pour reconnaître la contribution de Sieve au débarquement du porte-avions et le secrétaire à la Marine Gordon England a approuvé la Médaille de l’Air pour Sieve à l’été 2004. Il a été présenté par le Vice-chef des opérations navales, l’amiral Mike Mullins, dans la ville natale de Sieve, Cincinnati, Ohio. Un équipage de VMGR-352 a volé 9798 pour la cérémonie. Flatley a reçu la Distinguished Flying Cross, une récompense difficile à gagner à tout moment, mais surtout en temps de paix. Il a passé le reste de sa carrière dans la marine dans les chasseurs. Même s’il n’avait pas de crochet de queue sur le KC-130F, il compte ses dix-huit atterrissages dans un Hercules parmi ses 1 608 pièges, ce qui le place dans le top dix de la liste de tous les temps des débarquements de porte-avions de la Marine. Il a pris sa retraite en tant que contre-amiral en 1987. Il a été directeur général du Patriot’s Point Naval and Maritime Museum à Charleston, en Caroline du Sud, l’attraction touristique la plus populaire de l’État, pendant sept ans avant de prendre sa retraite. Entre ses vingt et un petits-enfants et son travail caritatif à Charleston, il reste actif. Je reste plus occupé que je ne peux l’être », a-t-il noté. Après une carrière de trente-huit ans, le Forrestal est désarmé le 11 septembre 1993 et radié du Registre de la Marine le même jour. En février 2014, il a été remorqué de Philadelphie à Brownsville, au Texas, pour être mis au rebut. La marine a vendu le porte-avions à All Star Metals, un recycleur de navires et de plates-formes pétrolières, pour un cent. Le KC-130F BuNo 149798 a poursuivi une carrière complète, recevant une mise à niveau d’extension de durée de vie et une nouvelle boîte d’aile centrale à la fin des années 1970. Il a passé la majeure partie de sa carrière avec VMGR-352, d’abord au MCAS El Toro, en Californie, et plus tard à Miramar après la fermeture d’El Toro et le déménagement des Raiders, comme l’appelle l’escadron lui-même. En novembre 2001, le 9798 a été le premier avion à atterrir sur le champ d’aviation expéditionnaire Rhino lors de l’opération Enduring Freedom en Afghanistan. Il a été utilisé lors d’une mission de ravitaillement nocturne en hélicoptère à basse altitude et pour insérer des éléments de l’équipe de débarquement du bataillon de la 15e Unité expéditionnaire des Marines près de la frontière pakistanaise. Âgé d’un peu plus d’un an lors des qualifications du transporteur, le 9798 a été retiré dans ce qu’on appelle maintenant le Musée national de l’Aviation Navale quarante-deux ans plus tard et à 26 220 heures de vol. Reléguée au rang de note de bas de page de l’histoire de l’aviation, l’idée du Hercules-on-a-carrier est revenue sur le devant de la scène en 2004. La série télévisée JAG de CBS a présenté un épisode dans lequel le Cmdr. Harmon Rabb David James Elliot quitte son poste d’avocat de la Marine pour piloter des missions pour la CIA. Il sauve un agent et sa famille à bord d’un C-130 puis, après avoir été attaqué par des MIG libyens, fait un atterrissage d’urgence sur le pont du fictif USS Seahawk. Au fur et à mesure du générique, des images réelles de l’atterrissage de Flatley dans le KC-130 que vous pouvez trouver ici sont montrées avec un bref résumé de l’exploit. Au même moment, le concept conjoint Armée-Marine-Corps des Marines de Base en mer, ou de pré-positionnement de fournitures et d’équipements à proximité de zones d’opérations potentielles dans le monde, était en cours de discussion. Une idée impliquait une installation mobile de la taille d’une petite île avec un pont d’envol de 3 000 pieds. Lockheed Martin a en fait reçu un contrat du gouvernement pour étudier le concept des opérations du C-130J à partir de cette piste flottante. Mais, le concept de base en mer a ensuite été mis de côté. Je croise toujours des gens qui disent qu’ils étaient là quand nous avons atterri, même si je ne me souviens pas d’avoir vu autant de gens sur le pont », a observé Flatley. Cela a toujours attiré l’attention des gens. Il y a encore des gens qui n’y croient pas. » Ceci est une mise à jour d’une histoire initialement parue dans le Volume 20, numéro 2 de Code One, publié en 2005.
Découvreztoutes les dernières réponses, astuces et solutions pour Codycross, un jeu de mots addictif - Mis à jour 2022. Solution Codycross. Toutes les dernières réponses pour le jeu de mots Codycross populaire et addictif. Menu. Accueil; Politique de confidentialité; Avertissement; Nous contacter; Codycross Terrain où les avions décollent ou atterrissent. Voici toutes les solution
Monday, 13 June 2022 Viennent ensuite la non-prise en compte du vent 15, 8%, une mauvaise gestion du carburant 9, 2%, des dysfonctionnements ou arrêts moteur 8, 1%, des problèmes mécaniques train, freins, gouvernes pour 6, 2%. Les causes suivantes sont une mauvaise configuration de l'appareil 4, 6%, des procédures IFR incorrectes 3, 2%. 8, 0% sont classés en Autres ». D'où les conseils de l'ASI en s'appuyant sur ces résultats… – Longueur de piste au décollage et à l'atterrissage, il est recommandé de prendre en compte 150% de la distance annoncée par le manuel de vol, pour couvrir bon nombre de facteurs » comme l'état de surface de la piste, la tenue de la vitesse, le vieillissement de l'appareil… La tenue de la vitesse en approche demeure cruciale. La configuration pleins volets est à retenir sauf limitations vent de travers. – Altitude-densité elle doit être prise en compte car elle dégrade les performances de décollage et d'atterrissage, mais aussi de remise de gaz. Attention aux obstacles en bout de piste… – Vent il peut être variable. Youtube Solution Codycross Terrain où les avions décollent ou atterrissent > Tous les niveaux Tous les niveaux >> Consultez les horaires des marées sur le site de Barra. Les vols en Twin Otter vers Benbecula et Glasgow sont assurés par Flybe. 5. Décollage au Tibet Atterrir ou décoller du Toit du monde exige certains réglages. Les réacteurs peinent à maintenir la portance dans l'air raréfié, et prendre de l'altitude est une lutte constante avec la physique. Ce n'est pas un hasard si la piste de Qamdo, la plus élevée au monde 4 334 m, est aussi la plus longue; la trajectoire rasante offre une vue spectaculaire sur le plateau tibétain. La ville de Qamdo est à 2 heures de route il n'y avait pas de terrain plat plus près! >>> Air China assure les quelques vols reliant Qamdo à Lhassa et Chengdu, mais il vous faudra obtenir un permis de voyage au Tibet en tant que participant à un circuit organisé. 6. Gros plan sur les volcans d'Hawaii États-Unis Nombre de vols panoramiques vous mèneront vers des montagnes crevant le ciel, mais rares sont ceux qui approcheront les montagnes crachant du feu. Attention aux soudaines composantes de vent arrière… Il peut être rafaleux et/ou de travers, avec un entraînement régulier nécessaire pour garder un savoir-faire dans ce domaine. – Pente de la piste sur certains terrains hors cas des altiports ou altisurfaces à QFU imposés, il faut évaluer les diverses solutions décoller en utilisant la pente quitte à avoir un peu de vent arrière ou décoller dans la montée face au vent? Il faut prendre en compte dans ce dernier cas l'accélération plus faible au départ et vérifier le taux de montée par rapport au sol ensuite… Le problème se pose à l'atterrissage selon le degré de pente de la piste et la force du vent atterrir vent dans le dos mais face à la pente ascendante de la piste ou atterrir dans la descente face au vent? – Etat de la piste attention à la dégradation de l'accélération initiale ou de la phase de freinage à l'atterrissage selon l'état de surface herbe haute, sol boueux, herbe humide, flaques d'eau…. – Masse de l'appareil elle affecte toutes les performances, de l'accélération initiale au taux de montée en passant par les longueurs d'atterrissage. Papier peint foret tropicale Terrain ou les avion décolle et atterrissent video Terrain ou les avion décolle et atterrissent le Terrain ou les avion décolle et atterrissent sur Terrain ou les avion décolle et atterrissent en Attelage pour anes st Poésie printemps victor hugo tout est lumiere tout est joie Liste de prix fioul-pas-cher-alsace Lespilotes doivent raser la plage de Maho pour pouvoir atterrir à temps. Les avions passent donc à peine 10 à 20 mètres au-dessus des touristes qui sont sur la plage. Il s’agit de la deuxième piste d’atterrissage la plus dangereuse du monde, et pourtant même des gros porteurs comme le Boeing 747 ou l’Airbus A340 atterrissent à l Jaimelesavions, merci pour ce post, je crois qu'il est bien placé dans la course pour le best of de 2010 ! JAimeLesAvions a écrit Dans la pratique courante, la piste est en général largement assez longue pour que l'atterrissage sans volets ne pose pas de problème de longueur. Peux-tu préciser ton propos ? Si tu veux dire que la distance d'atterrissage indiquée dans le manuel de vol avec volets 0° est inférieure à la longueur de la piste, alors, oui, c'est vrai pour pas mal de pistes. Mais quid des marges ? Si tu prends des marges, alors c'est déjà vrai de moins de pistes. JAimeLesAvions a écrit Alors pourquoi atterri t on avec des volets? Parce que ça permet de se poser plus court ?JAimeLesAvions a écrit - Remise de gaz beaucoup plus facile sans volets. "Plus facile", admettons. "Beaucoup" plus facile, faut pas pousser non plus. Avec un cran de volets, sur un avion qui décolle avec un cran de volets, je ne vois pas trop ce que ça change par rapport à un décollage a écrit Alors que la sortie des volets en finale perturbe la compensation Avec le même raisonnement, je pense que quand on pilote un avion avec train rentrant, on devrait le laisser sortie tout le temps, parce que la sortie du train perturbe la compensation. Ha, et aussi, on devrait toujours voler à la vitesse qu'on doit avoir en courte finale, parce que les variations de vitesse perturbent la compensation...JAimeLesAvions a écrit et on n'a pas trop le temps de retrouver l'équilibre pendant la finale. Si tu n'as pas le temps de retrouver ton "équilibre", comme tu dis, ça veut dire que ta finale n'est pas stabilisée et dans ce cas il ne faut pas se poser, mais remettre les gaz. Es-tu en train de nous dire que tu n'as jamais eu une finale stabilisée parce que tu sors les volets pour te poser ? Une finale, ça se stabilise le plus tôt possible. Pour ça, ya pas de secret, l'avion doit être configuré le plus tôt possible en finale. Donc sortie du train et des volets dans leur configuration finale le plus tôt, afin justement d'avoir le temps de bien stabiliser son plan, son axe et sa a écrit - Usure de l'avion on use plus de pneus plus vite, mais moins les moteurs des volets? Qu'est ce qui coûte le plus cher, là est la question. Et puis les moteurs des volets, c'est fait pour servir. De toute façon, je pense que la majorité des avions d'aéroclubs n'a pas de moteur pour les volets, ou plutôt, le moteur, c'est les muscles du pilotes, donc ça règle la a écrit - En cas de panne, on va plus loin si on n'a pas de volets. Hum... Ha oui, quand même... Penses-tu que ça fera une différence suffisante pour t'empêcher de rejoindre un terrain de déroutement ? Tu nous fais du Dubble, là, ou quoi ? JAimeLesAvions a écrit - Le vent de travers est plus facile sans volets. Tu écris "sans volets" sans préciser, mais 10° et 40° de volets, ça n'a RIEN à voir. Il est déconseillé d'atterrir avec les pleins volets en cas de fort de vent de travers, mais il n'est pas déconseillé de le faire avec un cran de volets...JAimeLesAvions a écrit - Sans volets, la charge de travail est allégée Je pense qu'un mec qui n'est pas capable de gérer la sortie et la rentrée des volets devait faire du tricot plutôt que de l'avion. Des ados de 15 ans ou même de 12 ou 13 ans y arrivent, des élèves-pilotes de 80 ans y arrivent, donc c'est que ça ne doit pas être si compliqué que ça. Eneffet, nous avons préparé les solutions de CodyCross Terrain où les avions décollent ou atterrissent. Ce jeu est développé par Fanatee Games, contient plein de niveaux. C’est la tant attendue version Française du jeu. On doit trouver des mots et les placer sur la grille des mots croisés, les mots sont à trouver à partir de leurs définitions. A 17 ans, le Britannique-Belge Mack Rutherfold est devenu mercredi le plus jeune à avoir effectué le tour du monde en planeur propulsé ultra-léger ULM. L’appareil, modifié pour l’occasion, avait une vitesse de croisière de 300 km/h. Le jeune homme a traversé 52 pays au cours de son périple, qu’il a bouclé en cinq mois. Il s’était déjà fait remarquer en 2020, après avoir obtenu son brevet de pilote à tout juste quinze ans, un autre record. SommairePourquoi voler en ULM ?Quelle est la fonction d’usage d’un ULM ?Est-ce qu’un ULM à un moteur ?Comment fonctionne un ULM ?Pourquoi faire un vol en ULM ?Quel distance peut parcourir un ULM ?Pourquoi ULM ?Où Peut-on voler avec un ULM ?Quel ULM pour voyager ?Quel distance peut parcourir un ULM ?Comment s’habiller pour faire de l’ULM ?Quelle distance Peut-on parcourir en ULM ?Quelle distance Peut-on parcourir avec un paramoteur ?Quelle est la vitesse d’un ULM ?Quel est le plafond de vol d’un ULM ?Quelle distance Peut-on parcourir en ULM ?Quel budget pour un ULM ?Comment s’habiller pour faire de l’ULM ?Comment atterrir en ULM ?Quel budget pour un ULM ?Quel est l’ULM le moins cher ?Quel ULM pour débuter ?Où atterrir avec un ULM ?Quel distance peut parcourir un ULM ?Quel ULM pour voyager ?Quel type d’ULM choisir ?Quel type d’ULM ?Quelle est la différence entre un ULM et un paramoteur ?Quel est l’ULM le moins cher ?Quel ULM pour débuter ?Quel est le meilleur des ULM ?Quel est le meilleur des ULM ?Quel est le prix d’un ULM ?Quel distance peut parcourir un ULM ?Comment se pilote un ULM pendulaire ?Comment faire décoller un ULM ?Quel est le prix d’un ULM ?Quelle distance peut parcourir un ULM ?Comment vole un pendulaire ?C’est quoi un ULM pendulaire ?Comment voler avec un ULM ?Quel permis pour piloter un ULM ?Quel est l’ULM le plus sûr ? Pourquoi voler en ULM ? Biplace, l’ULM permet de voler en toute intimité avec le pilote et/ou le passager. Vous découvrirez les paysages sous un nouvel angle. Léger et optimisé pour un seul passager, l’ULM vole dans une moindre mesure en silence, de quoi apprécier encore plus le panorama qui s’observe autour de vous. A quoi ressemble un vol en ULM ? Bien que plus silencieux que les avions ou les hélicoptères, les ultra-légers nécessitent une communication radio pour des raisons de sécurité. En effet, un pilote d’ULM utilise la radio pour les mêmes raisons qu’un pilote d’avion donner sa position et informer les autres véhicules aériens de sa présence. Quelle est la fonction d’usage d’un ULM ? Un ULM est un avion », c’est-à-dire un appareil qui vole, avec des caractéristiques particulières que l’on peut résumer comme suit C’est au maximum un appareil biplace, il ne peut transporter qu’un seul passager en plus du conducteur. Est-ce qu’un ULM à un moteur ? Un ULM motorisé, communément appelé ULM, est un aéronef ULM équipé d’un moteur et dont les conditions particulières de navigabilité sont simplifiées par rapport à la certification d’un avion léger et soumis à une licence de pilote plus simple que celle de pilote privé. Pour descendre plonger », le pilote tire le trapèze vers lui pour déplacer son poids vers l’avant. La manœuvre inversée avec le trapèze et le poids, vers l’arrière, permet de relever l’ULM pitch up ». La plupart des modèles voient également un petit levier qui contrôle la puissance du moteur. Pourquoi faire un vol en ULM ? Décoller et atterrir en toute flexibilité L’avantage d’un ULM est qu’il n’a pas besoin d’aéroport ou d’aérodrome pour décoller et atterrir. Il existe des bases ULM avec autorisations obligatoires, mais dans l’idée, c’est déjà un peu plus gratuit que l’avion ! Quel distance peut parcourir un ULM ? 5. Quelle distance peut-il parcourir ? Les ULM modernes, selon leur capacité d’emport de carburant, peuvent parcourir de 500 à plus de 1 000 km en une seule fois, ce qui équivaut à traverser la France et même plus. Selon le type d’avion, l’autonomie de vol varie entre 2 et 8-10 heures. Pourquoi ULM ? L’ULM est une classe d’avions ultra-légers » qui respecte des règles de puissance maximale par exemple, 100 ch maximum pour un biplace multi-axes et une masse maximale au décollage qui est passée à 500 kg sans parachute et 525 kg avec parachute. Où Peut-on voler avec un ULM ? * Un ULM peut occasionnellement décoller et atterrir sur un terrain aux caractéristiques suffisantes terrain découvert, 200 à 300 m de long et 20 de large à condition d’avoir l’autorisation de son propriétaire ou de son ayant cause et d’en aviser le maire local. Quel ULM pour voyager ? Le meilleur rapport qualité/prix du marché L’A22L2 est un ULM multiaxes à voilure haute qui est fabriqué selon les mêmes méthodes, outils et matériaux qu’un avion certifié. L’A22L2 est la dernière évolution de l’A22 dans sa configuration ULM, un appareil déjà produit à plus de 500 exemplaires. Quel distance peut parcourir un ULM ? 5. Quelle distance peut-il parcourir ? Les ULM modernes, selon leur capacité d’emport de carburant, peuvent parcourir de 500 à plus de 1 000 km en une seule fois, ce qui équivaut à traverser la France et même plus. Selon le type d’avion, l’autonomie de vol varie entre 2 et 8-10 heures. 2 personnes le pilote et un passager. Comment s’habiller pour un vol ? Cela dépend de l’altitude, mais il est généralement recommandé d’apporter des chaussures fermées, des chaussettes, un pantalon et un pull. Quel poids faire en ULM ? ULM d’une masse maximale de 500 kg et d’une masse à vide de 305 kg. L’ULM peut emporter au maximum 500 â 305 = 195 kg d’occupants, bagages, lest amovible et carburant. Quelle distance Peut-on parcourir en ULM ? 5. Quelle distance peut-il parcourir ? Les ULM modernes, selon leur capacité d’emport de carburant, peuvent parcourir de 500 à plus de 1 000 km en une seule fois, ce qui équivaut à traverser la France et même plus. Selon le type d’avion, l’autonomie de vol varie entre 2 et 8-10 heures. Quelle distance Peut-on parcourir avec un paramoteur ? La distance maximale qu’un paramoteur peut raisonnablement parcourir est d’environ 200 milles, mais la plupart des vols en paramoteur ne couvrent qu’environ 10 milles. Certains pilotes de paramoteur peuvent parcourir des centaines de kilomètres en s’arrêtant pour faire le plein lors de longs trajets. Quelle est la vitesse d’un ULM ? À quelle vitesse volons-nous ? Les ULM basculants utilisés par Kapitaine ULM ont des plages de vitesse de vol allant de 70 km/h à 120 km/h. Notre vitesse de croisière sera d’environ 90 km/h. Quel est le plafond de vol d’un ULM ? L’altitude réglementaire maximale est de 19 500 pieds environ 5 950 m. En pratique, le plafond dépend des qualités de l’engin plus on monte haut, moins l’air est dense et donc capable de porter » l’avion, qui doit alors développer plus de puissance pour continuer à monter. Quelle distance Peut-on parcourir en ULM ? Certains ULM récents peuvent théoriquement parcourir plus de 1 000 km en une seule fois ! La distance maximale parcourue par un ULM varie fortement selon le type d’avion et la quantité de carburant disponible. Quel budget pour un ULM ? Le budget En effet, la fourchette de prix est très large, entre 15 000 € pour un kit de base et 120 000 € pour un appareil dit haut de gamme. Par conséquent, il est nécessaire de s’habiller chaudement ; veste et écharpe sont nécessaires ainsi que des gants en hiver. Préfère les chaussures de sport aux talons aiguilles » pour les dames. Un casque en cuir et des lunettes sont fournis pour le vol. Atterrissage paramoteur ULM Après avoir abordé la zone d’atterrissage, à environ 30 m du sol et face au vent, le pilote arrête son moteur en gardant la bonne direction et la vitesse maximale, puis entame sa descente vers le point d’atterrissage. Comment s’habiller pour un vol en ULM ? Par conséquent, il est nécessaire de s’habiller chaudement ; veste et écharpe sont nécessaires ainsi que des gants en hiver. Préfère les chaussures de sport aux talons aiguilles » pour les dames. Un casque en cuir et des lunettes sont fournis pour le vol. Quel budget pour un ULM ? Le budget En effet, la fourchette de prix est très large, entre 15 000 € pour un kit de base et 120 000 € pour un appareil dit haut de gamme. Quel est l’ULM le moins cher ? Le moins cher reste le paramoteur avec brevet, qui coûte généralement 2 000 €, suivi du pendule, dont le prix oscille entre 2 500 € et 3 000 €. Quel ULM pour débuter ? Un pendule de type GTE ou Biplum comme un Weedhopper 3 axes, AX-3 ou Wallaby seront des sources d’apprentissage immédiatement accessibles et des merveilles de complicité pour un pilote débutant. Où atterrir avec un ULM ? Un ULM peut occasionnellement décoller et atterrir sur un terrain aux caractéristiques suffisantes terrain découvert, 200 à 300 m de long et 20 de large à condition d’avoir l’autorisation de son propriétaire ou ayant cause et d’en aviser le maire de la commune. Un tel terrain est appelé aérosurface ». Quel distance peut parcourir un ULM ? 5. Quelle distance peut-il parcourir ? Les ULM modernes, selon leur capacité d’emport de carburant, peuvent parcourir de 500 à plus de 1 000 km en une seule fois, ce qui équivaut à traverser la France et même plus. Selon le type d’avion, l’autonomie de vol varie entre 2 et 8-10 heures. Quel ULM pour voyager ? Le meilleur rapport qualité/prix du marché L’A22L2 est un ULM multiaxes à voilure haute qui est fabriqué selon les mêmes méthodes, outils et matériaux qu’un avion certifié. L’A22L2 est la dernière évolution de l’A22 dans sa configuration ULM, un appareil déjà produit à plus de 500 exemplaires. Quel type d’ULM choisir ? Classe 1 ParamoteurClasse 2 PenduleClasse 3 MultiaxesClasse 4 AutogireClasse 5 AérostatClasse 6 Hélicoptère Quel budget pour un ULM ? Le budget En effet, la fourchette de prix est très large, entre 15 000 € pour un kit de base et 120 000 € pour un appareil dit haut de gamme. Quel type d’ULM ? Il existe 6 classes d’ULM 1 – Le – Le – – L’autogire – L’aérostat L’hélicoptère L’hélicoptère ultra-léger. Quelle est la différence entre un ULM et un paramoteur ? La vitesse d’un ULM varie entre 30 km/h pour un paramoteur, jusqu’à près de 300 km/h pour le multiaxe le plus rapide ! La plupart des passagers volent entre 90 et 120 km/h, les multi-essieux volent entre 100 et 200 km/h. Quel est l’ULM le moins cher ? Le moins cher reste le paramoteur avec brevet, qui coûte généralement 2 000 €, suivi du pendule, dont le prix oscille entre 2 500 € et 3 000 €. Quel ULM pour débuter ? Un pendule de type GTE ou Biplum tel qu’un Weedhopper 3 axes, AX-3 ou Wallaby seront des sources d’apprentissage immédiatement accessibles et des merveilles de complicité pour un pilote débutant. Quel est le meilleur des ULM ? Le meilleur rapport qualité/prix du marché L’A22L2 est la dernière évolution de l’A22 dans sa configuration ULM, un avion déjà produit à plus de 500 exemplaires. L’A22L2 est l’avion tout-terrain par excellence de par sa polyvalence, son large domaine de vol et son rapport qualité/prix exceptionnel. Quel est le meilleur des ULM ? Le meilleur rapport qualité/prix du marché L’A22L2 est la dernière évolution de l’A22 dans sa configuration ULM, un avion déjà produit à plus de 500 exemplaires. L’A22L2 est l’avion tout-terrain par excellence de par sa polyvalence, son large domaine de vol et son rapport qualité/prix exceptionnel. Quel est le prix d’un ULM ? Les prix varient fortement selon le type d’ULM et sa qualité de fabrication. La pendule ci-dessus, de la marque AirBorne haut de gamme, coûte environ 40 000 euros. Quel distance peut parcourir un ULM ? 5. Quelle distance peut-il parcourir ? Les ULM modernes, selon leur capacité d’emport de carburant, peuvent parcourir de 500 à plus de 1 000 km en une seule fois, ce qui équivaut à traverser la France et même plus. Selon le type d’avion, l’autonomie de vol varie entre 2 et 8-10 heures. Pour monter il faut pousser le cadre et pour descendre il faut le tirer. La transition flat/ulma pendule se fait en douceur. Un pendule est piloté par le déplacement du centre de gravité. Le centre de gravité est sous le deltaplane, comme un pendule. Comment conduire un ULM ? Conditions d’obtention Pour obtenir la licence de pilote ULM, quelle que soit la classe dont il s’agit, il faut – Etre âgé d’au moins 15 ans ; – Être en possession du certificat théorique de tronc commun, délivré par l’Aviation Civile. C’est un examen sous forme de QCM 60 questions, 1h30. Un ULM peut occasionnellement décoller et atterrir sur un terrain aux caractéristiques suffisantes terrain découvert, 200 à 300 m de long et 20 de large à condition d’avoir l’autorisation de son propriétaire ou ayant cause et d’en aviser le maire de la commune. Un tel terrain est appelé aérosurface ». Quel est le prix d’un ULM ? Les prix varient fortement selon le type d’ULM et sa qualité de fabrication. La pendule ci-dessus, de la marque AirBorne haut de gamme, coûte environ 40 000 euros. Quelle distance peut parcourir un ULM ? Certains ULM récents peuvent théoriquement parcourir plus de 1 000 km en une seule fois ! La distance maximale parcourue par un ULM varie fortement selon le type d’avion et la quantité de carburant disponible. Un mouvement latéral gauche ou droite du pendule incline l’aile, provoquant un virage dans cette direction. Pour descendre plonger », le pilote tire le trapèze vers lui pour déplacer son poids vers l’avant. C’est quoi un ULM pendulaire ? Un pendule est un avion ultraléger propulsé ULM ou un planeur ultraléger propulsé auxiliaire PULMA qui est piloté en déplaçant le centre de gravité. L’ultra-léger est un vol à vue » ; c’est-à-dire voler de jour 30 minutes avant le lever du soleil et 30 minutes après le coucher du soleil hors des nuages ​​avec la visibilité minimale définie par la réglementation. Le pilote doit toujours avoir une vue sur le sol. Quel permis pour piloter un ULM ? Pour piloter un appareil en parfaite autonomie, qu’il s’agisse d’un ULM multi-axes, pendulaire, autogire ou autre, il est nécessaire d’obtenir une licence de pilote ULM. Ce brevet est obtenu après la réussite d’un examen comprenant une épreuve théorique au sol et une épreuve pratique en vol. Quel est l’ULM le plus sûr ? Le G1, un avion Super STOL Short Take Off and Landing ULM Ultra Light Motorized adapté aux vols en montagne. Le G1, un ULM sûr. Nousnous étions déjà intéressés à la question à Slate en 2010: que se passe-t-il quand le commandant de bord ou un pilote meurt en Location de jets privés depuis 1991 8500 appareils disponibles 35 000 vols assurés 100 000+ passagers 4,9/5 satisfaction client 100% Compensation carbone L’hélicoptère est aux airs, ce que la libellule est à la terre élégant, agile, aérien ! Souvent utilisé comme moyen de déplacement ou de cascades dans les grosses productions cinématographiques, il donne l’impression de pouvoir décoller et atterrir partout. Mais peut-on véritablement décoller de n’importe où dans ce type de machine volante? Nous aimerions vous répondre oui », mais en réalité ces machines motorisées et très puissantes sont soumises à quelques obligations. Tout d’abord, il faut un terrain dégagé ou possédant une hélico surface, plus connue dans les séries américaine sous le nom de Drop Zone ». Ensuite, il est nécessaire que la zone ou terrain privé se situe hors d’une agglomération et en dehors des zones aéroports de décollage ou atterrissage par exemple CDG. Si ces deux conditions sont remplies, alors il ne reste plus qu’à obtenir l’accord du propriétaire du terrain privé ainsi que de la mairie. Enfin pour des questions de savoir-être, il est nécessaire d’éviter toutes les nuisances sonores. Rassurez-vous, très souvent ces conditions sont remplies pour la plus grande joie des passagers et des riverains. Choisir AEROAFFAIRES c’est l’assurance de trouver l’appareil adapté à votre besoin, qui vous apportera satisfaction. Téléchargezce jeu sur votre smartphone et faites exploser votre cerveau. Cette page de réponses vous aidera à passer le niveau nécessaire rapidement à tout moment. Ci-dessous vous trouvez la réponse pour Terrain où les avions décollent ou atterrissent : Terrain où les avions décollent ou atterrissent . Solution: AÉRODROME. Les autres questions que vous pouvez trouver ici mai 16, 2021 Les porte-avions sont extrêmement importants. Ils servent de bases mobiles pour les avions de guerre en mer. Ils ont des ponts d’envol pour que les avions décollent et atterrissent. Ils transportent du matériel pour armer des avions de guerre et récupérer des avions endommagés. Un porte-avions est considéré comme un navire capital, le navire le plus important. En effet, la marine peut l’utiliser pour étendre sa puissance n’importe où dans le monde. Les pays qui veulent exercer une influence doivent avoir des porte-avions. Les porte-avions sont issus de croiseurs qui avaient été convertis pour transporter des avions au début du XXe siècle. Ils étaient importants pendant la Seconde Guerre mondiale, en particulier dans le Pacifique. De nos jours, ils sont parmi les plus grands navires sur l’eau et transportent toutes sortes d’avions, y compris des hélicoptères, des chasseurs, des avions de reconnaissance et des avions de frappe. Ils sont, bien sûr, extrêmement coûteux à construire. En service, et en particulier dans les zones de guerre, ils sont protégés par d’autres navires. Lorsqu’il s’agit d’être l’avion le plus lourd et le plus grand à atterrir sur un porte-avions, le prix revient au C-130 Hercules. C-130 Hercules Pendant deux mois à l’automne 1963, un Hercules a effectué un total de 21 décollages et atterrissages sur l’USS Forrestal alors qu’il transportait une masse accrue. La première fois qu’un avion multimoteur a décollé d’un porte-avions, c’était en mars 1936. Cet engin, le Potez 565, était un avion à six passagers modifié avec deux moteurs. Un avion plus gros pourrait-il le faire? La marine américaine a testé un avion plus grand le 30 octobre 1963. Le Hercules était un turbopropulseur quadrimoteur C-130. C’est l’un des avions militaires les plus polyvalents, conçu pour décoller et atterrir sur des pistes accidentées. Le premier avion de série, le C-130a, a été livré pour la première fois en 1956. Alors qu’un transporteur peut être en mer pendant de longues périodes, il a besoin d’un réapprovisionnement régulier. Le C-130 venait d’entrer en service dans l’US Air Force, il a donc été envisagé pour cette tâche particulière. Les avions de la marine sont conçus pour fonctionner spécialement à partir de transporteurs. Ils sont équipés d’un dispositif d’arrêt afin de ne pas tomber de l’autre côté. Il utilise également des catapultes à vapeur pour le décollage. Le C-130 Hercules a atterri sur un porte-avions. Aujourd’hui, c’est toujours le transport aérien tactique de choix, non seulement pour les États-Unis, mais aussi pour d’autres armées. La base d’un cadre Hercules est utilisée dans les avions conçus pour le ravitaillement aérien, la reconnaissance météorologique, la lutte aérienne contre les incendies, etc. Les avions conçus spécifiquement pour les porte-avions se connectent à des catapultes à vapeur pour le décollage et disposent d’un crochet d’arrêt pour l’atterrissage. L’Hercules n’avait pas cet équipement. Il a été choisi pour le test en raison de sa capacité de chargement et de sa stabilité en vol et à l’atterrissage. L’Hercules était également capable de parcourir de plus longues distances que les autres engins considérés. Le résultat souhaité du test était de trouver un avion capable de ravitailler les porte-avions. La Marine était limitée avec l’avion qu’elle utilisait, le moteur à deux pistons Grumman C-1 Trader, qui ne pouvait voler que 300 miles et avait un espace de chargement restreint. Le vol d’essai a été piloté par le lieutenant James Flatley III et son copilote, le lieutenant commandant Stovall. Aucun des deux hommes n’avait piloté un C-130. Ils ont effectué 29 atterrissages touch and go, augmentant le poids de la cargaison tout au long de l’essai. Flatley a reçu la Flying Cross pour ses efforts de pilotage. Une vue air-air de face gauche d’un avion AC-130 Hercules pendant la pratique de la cible. L’Hercules pouvait parcourir 2 500 milles avec une charge utile de 25 000 lb et atterrir avec succès. Cependant, il était considéré comme trop risqué. La marine s’est contentée du Grumman C-2 Greyhound, plus petit et plus prudent. James Flatley III, qui était le pilote, n’avait jamais piloté d’avion quadrimoteur avant ces essais. Après une courte période d’entraînement, il a réussi l’incroyable exploit d’atterrir et de décoller avec succès du porte-avions. En raison de sa participation à l’exploit, il a reçu la Distinguished Flying Cross. Malgré le succès des tests, l’idée a été jugée trop risquée pour les opérations de livraison à bord du Transporteur, de sorte que le C-2 Greyhound a été développé comme avion dédié au programme. L’Hercules qui a été utilisé dans l’essai a été maintenu en service jusqu’en 2005. Il se trouve maintenant au Musée National de l’Aviation navale de Pensacola, en Floride. Développer Pour Plus De Contenu Les porte-avions sont extrêmement importants. Ils servent de bases mobiles pour les avions de guerre en mer. Ils ont des ponts d’envol pour que les avions décollent et atterrissent. Ils transportent du matériel pour armer des avions de guerre et récupérer des avions endommagés. Un porte-avions est considéré comme un navire capital, le navire le… Les porte-avions sont extrêmement importants. Ils servent de bases mobiles pour les avions de guerre en mer. Ils ont des ponts d’envol pour que les avions décollent et atterrissent. Ils transportent du matériel pour armer des avions de guerre et récupérer des avions endommagés. Un porte-avions est considéré comme un navire capital, le navire le… L4L9.
  • o8ko655kg6.pages.dev/267
  • o8ko655kg6.pages.dev/250
  • o8ko655kg6.pages.dev/45
  • o8ko655kg6.pages.dev/161
  • o8ko655kg6.pages.dev/265
  • o8ko655kg6.pages.dev/18
  • o8ko655kg6.pages.dev/217
  • o8ko655kg6.pages.dev/166
  • o8ko655kg6.pages.dev/243
  • terrain ou les avion dĂ©colle et atterrissent