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Ilexiste pourtant de nombreuses activités qui sauront vous divertir. Promenade nocturne, concerts et spectacles, rooftops romantiques, musée, bars. La liste est longue, et vous ne vous ennuierez pas ! Voici ce que je préfÚre faire à New York la nuit aprÚs avoir admiré le coucher de soleil depuis le Top of the Rock. Amusez-vous !
Certes, ce nâest pas son meilleur film. Mais dans Rifkinâs Festival », Woody Allen retrouve, par moments, sa savoureuse ironie et son regard dĂ©senchantĂ© sur le monde. Le scĂ©nario lors du Festival de San SebastiĂĄn, en Espagne, Mort Rifkin, enseignant de cinĂ©ma, constate que sa femme, attachĂ©e de presse dâun jeune cinĂ©aste qui a fait un film pour dĂ©noncer la guerre ce qui plaĂźt aux critiques, a une aventure. DĂ©contenancĂ©, notre homme traĂźne son ennui, son blues, ses obsessions et ses rĂ©fĂ©rences cinĂ©matographiques. On est bien chez Woody Allen, avec ce mĂ©lange de situations absurdes et de rĂ©pliques son cinquantiĂšme film, le cinĂ©aste dâ Un jour de pluie Ă New York », titulaire de quatre oscars et de seize nominations, se moque de ses propres admirations Antonioni, Godard, Bergman, Resnais et recycle certaines de ses obsessions. A 86 ans, il annonce dĂ©jĂ son prochain film, qui sera tournĂ© Ă suite aprĂšs la publicitĂ© Rifkinâs Festival », pour les fans, est un concentrĂ© de mĂ©lancolie, une sorte de Bouillon Kub de lâesprit Allen. Pour les autres, le film nâapporte rien de nouveau. En attendant de vous faire une opinion, voici quelques rĂ©pliques du film, bien dans la note de lâauteur dâ Annie Hall ». Le visionnage de cette vidĂ©o est susceptible d'entraĂźner un dĂ©pĂŽt de cookies de la part de l'opĂ©rateur de la plate-forme vidĂ©o vers laquelle vous serez dirigĂ©e. Compte-tenu du refus du dĂ©pĂŽt de cookies que vous avez exprimĂ©, afin de respecter votre choix, nous avons bloquĂ© la lecture de cette vidĂ©o. Si vous souhaitez continuer et lire la vidĂ©o, vous devez nous donner votre accord en cliquant sur le bouton ci-dessous. Rifkin Wally Shawn, dĂ©moralisĂ©, traĂźne dans les rues de San SebastiĂĄn, lors dâun festival qui lâennuie. Il dĂ©prime, fait un cauchemar, au cours duquel un interlocuteur lui demande Je me demande parfois si tu es un vrai juif ? Tu ne fais pas shabbat, tu te moques de ta religion, et tu nâes jamais allĂ© en IsraĂ«l. Que dirait Dieu sâil te rencontrait ?â AprĂšs ce que Dieu a fait, je nâai rien Ă lui dire. Quâil sâadresse Ă mon avocat.â Seul un juif penserait Ă porter plainte contre Dieu.â Seul un juif aurait un dossier en bĂ©ton. »En voici un autre, oĂč Rifkin voit ses parents dĂ©cĂ©dĂ©s Maman et papa ? Que faites-vous Ă San SebastiĂĄn ?â On vient te donner un bon conseil. Je voulais le faire graver sur ma tombe, mais ta mĂšre trouvait ça vulgaire.â Et quel est ce conseil ?â Lâargent parle, la connerie passe. » Rifkinâs Festival » de Woody Allen un lamento qui nâen finit pasRifkin rĂ©flĂ©chit sur le sens de la vie, rĂ©examine son passĂ© et ses lectures La suite aprĂšs la publicitĂ© Jâai lu la Bible du dĂ©but Ă la fin. Je me suis pris dâamour pour Eve, pour la femme de Job et pour Dalila. Le Nouveau Testament est bien plus clĂ©ment. Au moins, le Messie se pointe. JĂ©sus se prĂ©sente trĂšs sobrement. Il guĂ©rit les gens, fait des miracles. Mais câest un type ordinaire. Je dis quâil nâaurait pas dĂ» ressusciter Ă PĂąques. Etant charpentier de mĂ©tier, il aurait dĂ» choisir la FĂȘte du Travail. »Rifkin consulte une femme mĂ©decin espagnole, et tombe amoureux dâelle. Il la questionne Depuis quand ĂȘtes-vous mariĂ©e ?â Cinq ans. Et vous ?â Bien plus que ça.â Etes-vous fidĂšle ?â Depuis toujours.â Jamais regardĂ© ailleurs ?â Bien sĂ»r que je regarde, je regarde beaucoup. Voire je bave. »LâEspagnole est mariĂ©e, et constate que son mari est suicidaire Il menace de se tuer. Comment savoir sâil bluffe ?â Il bluffe. Personne ne veut mourir. Pas mĂȘme par amour.â Vous ne le feriez pas ?â Je prĂ©fĂšre ne pas mourir du tout. Que ce soit de maladie, de vieillesse. Ou en mâĂ©touffant avec un bagel. »Sue Gina Gershon, lâĂ©pouse de Rifkin, qui a une aventure avec un jeune cinĂ©aste, se pose des questions JâĂ©tais hantĂ©e par le silence de Dieu. Puis un jour, Il mâa parlĂ©, et Dieu mâa dit âJâai vu ton mari, et Ă ta place, je nâhĂ©siterais pas. Je le tromperais.â Je suis trĂšs partagĂ©e, la vie me rend perplexe. Le seul pĂ©chĂ© de Rifkin est de nâaimer que les films sous-titrĂ©s⊠» La Nuit du 12 », les Nuits de Mashhad », Rifkinâs Festival »⊠Les films Ă voir ou pas cette semaineEn pleine nuit, Rifkin Ă©coute sa femme, qui lui annonce leur rupture La suite aprĂšs la publicitĂ© Notre couple est vouĂ© Ă lâĂ©chec. Il faut quâon se sĂ©pare. On le sait, il faut juste quâun de nous ose dâabord.â Tu as couchĂ© avec ton rĂ©alisateur ?â Jamais. Enfin⊠Sauf une fois. Enfin⊠Deux. En comptant la panne dâascenseur⊠HonnĂȘtement, trois fois. Le plus important, câest quâon joue cartes sur table.â Combien de cartes as-tu ? 52 ? »Rifkin rencontre la Mort, comme dans un film de Bergman. Celle-ci, en cape noire, dispose un Ă©chiquier entre eux. Rifkin demande Pourquoi es-tu ici ?â Pour notre derniĂšre partie dâĂ©checs.â Pourquoi fais-tu cela ?â Pour que tu me connaisses. Que tu te fasses une raison.â Je ne me ferai jamais une raison.â Alors tu ne pourras jamais te dĂ©fendre, savourer la vie.â Pourquoi cette gentillesse ? Dâhabitude, tu es sans pitiĂ©.â Pas sans pitiĂ©. IndiffĂ©rente. Mais je ne peux voir un pauvre schmuck gĂącher sa vie. Tu as lu âSisypheâ, le truc de Camus ?â Oui, jâen ai fait un mauvais rĂȘve. Je pousse un rocher en haut de la colline, inlassablement. Et je gagne quoi ? Un rocher sur une colline. »La Mort plie bagage. Et commence Ă disparaĂźtre en flou enchaĂźnĂ©, en sâexcusant Je dois y aller. Jâai des tonnes de visites Ă domicile.â Non, attends !â Tâen fais pas. Je reviendrai et tu trouveras ça trop tĂŽt.â Tu reviendras ? Quand ?â Ăa dĂ©pend. Tu fumes ? Faut manger plein de fruits et de lĂ©gumes, et adios graisses saturĂ©es.â Je fais trĂšs attention.â Pas dâaliments transformĂ©s ! Et nâoublie pas ta coloscopie !â Peut-ĂȘtre que Sisyphe avait raison⊠»
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QueensboroBridge, New York 3. Diamants sur canapĂ© (Breakfast at Tiffany's) Blake Edwards, 1961, Ătats-Unis Il suffit de la vision d' Audrey Hepburn, Ă l'aube, sortant en robe de soirĂ©e d'un taxi sur la CinquiĂšme Avenue, et buvant son cafĂ© face Ă la vitrine de Tiffany's, pour tomber amoureux.
Culture La cathĂ©drale ferroviaire de Grand Central, Ă New York, fĂȘte ses 100 ans cette annĂ©e. Son cadre grandiose en a fait un dĂ©cor cinĂ©matographique, de "La Mort aux trousses" Ă "Armageddon". EtĂ© 1958. Hitchcock tourne La Mort aux trousses dans les rues de New York. Il fait de Grand Central le point de dĂ©part de l'Ă©popĂ©e de Roger Thornhill Cary Grant, publicitaire traquĂ© par de mystĂ©rieux espions. Injustement accusĂ© du meurtre d'un fonctionnaire de l'ONU, Thornhill parvient Ă se faufiler dans le train le plus luxueux de l'Ă©poque, le 20th Century Limited, qui relie New York Ă Chicago. C'est lĂ qu'il rencontre Eve Kendall Eva Marie Saint. Elle lui lancera que le voyage est bien long et qu'elle n'aime pas trop son livre. REPRĂSENTATIONS DU MODE DE VIE AMĂRICAIN Plus d'un demi-siĂšcle aprĂšs, Grand Central vient de fĂȘter son centenaire et d'ĂȘtre ravalĂ©e. Au mieux de sa forme, elle a survĂ©cu aux bouleversements qui ont secouĂ© New York. "Ce n'est pas facile de durer cent ans dans une ville en constante Ă©volution", a notĂ© le maire, Michael Bloomberg, le 1er fĂ©vrier, lors de la cĂ©rĂ©monie commĂ©morative, qui ouvre des festivitĂ©s destinĂ©es Ă se prolonger durant toute l'annĂ©e. Porte d'entrĂ©e de la ville la plus photogĂ©nique du monde, Grand Central est naturellement devenue un objet cinĂ©matographique, reflet de ses habitants, tĂ©moin de ses humeurs, victime aussi de la faillite urbaine des annĂ©es 1970. Le cinĂ©ma adore tourner dans les gares. Alors il fait de la cathĂ©drale ferroviaire de Manhattan le symbole de toutes les Ă©poques de New York et, au passage, des milliers de commuters passagers effectuant le trajet ville-pĂ©riphĂ©rie qui s'empressent de rejoindre leur banlieue. Les reprĂ©sentations de ce lieu sont autant de tĂ©moins de l'Ă©volution du mode de vie amĂ©ricain, l'American way of life. A sa naissance, en 1913, Grand Central met en scĂšne les ambitions Ă©conomiques de New York. Elle se veut le dĂ©cor grandiose d'une ville en plein essor. Le nouvel Ă©difice, qui remplace le vieux bĂątiment construit par Cornelius Vanderbilt en 1871, est un monument dans le style de l'Ecole des beaux-arts, avec des escaliers en marbre italien et un plafond Ă©toilĂ© créé par le Français Paul Helleu. Treize ans aprĂšs La Mort aux trousses, c'est dans une gare bien diffĂ©rente que s'engouffre Alain Charnier Fernando Reyes, le trafiquant de French Connection 1971. Il veut Ă©chapper Ă Popeye Gene Hackman, le policier qui vient de le repĂ©rer Ă la sortie du Roosevelt Hotel. On ne voit que l'une des rames de mĂ©tro, mais, derriĂšre elle, c'est un tout autre paysage qui se dessine. Car Grand Central lutte pour Ă©chapper Ă la casse aprĂšs la dĂ©molition, en 1963, de sa grande rivale, Penn Station, victime de la spĂ©culation immobiliĂšre. Elle n'y rĂ©ussira qu'en 1978, grĂące aux efforts dĂ©ployĂ©s par Jackie Onassis pour assurer sa sauvegarde. COURSE-POURSUITE ET ESCALATORS UsĂ©e, Ă©reintĂ©e, la gare devient symptomatiquement l'un des personnages de L'Impasse 1993, de Brian De Palma. C'est sur l'un de ses quais que vient mourir Carlito Brigante Al Pacino, le petit truand qui essaye de se ranger aprĂšs la prison. Il a tuĂ© quatre assassins dans les escalators qui mĂšnent au hall principal, une course-poursuite qui rappelle la scĂšne des escaliers des Incorruptibles 1987, tournĂ©e par De Palma dans une autre gare, celle de Chicago. New York s'est habituĂ©e Ă ces scĂšnes de violence, bien que le taux de criminalitĂ© commence imperceptiblement Ă baisser. DĂ©couvrir aussi les rĂ©alisateurs filment tous aux mĂȘmes endroits Une Ă©volution qui soulage considĂ©rablement les milliers de commuters qui empruntent Grand Central tous les jours, ces marĂ©es humaines qui vont et viennent, au grĂ© des heures de pointe. Terry Gilliam fait de ces banlieusards gris l'une des plus belles scĂšnes de The Fisher King 1991, l'histoire d'un arriviste et d'un clochard Ă la recherche du Graal. "Peu avant 5 heures de l'aprĂšs-midi, le rythme de Grand Central devient plus intense, raconte le rĂ©alisateur amĂ©ricain Ă la sortie du film. C'est gĂ©nial, il y a de plus en plus de gens, ils marchent de plus en plus vite. Je me suis dit que ça serait merveilleux de les faire valser, tous ensemble, le temps d'un instant, avant de les voir repartir vers leurs trains." C'est exactement ce que fait Terry Gilliam dans une scĂšne qui demande plus de 1 000 figurants. DRAMES CONJUGAUX Entre l'univers rangĂ© des banlieues rĂ©sidentielles et les tentations de Manhattan, Grand Central est aussi au centre de bien des drames conjugaux. Celui d'April et Frank Wheeler Kate Winslet et Leonardo DiCaprio, le couple des Noces rebelles 2008, de Sam Mendes, qui s'enlisent dans une existence confortable et finissent par devenir ce qu'ils dĂ©testent. Celui encore d'Ed et Connie Summer Richard Gere et Diane Lane dans InfidĂšle 2002, le remake d'Adrian Lyne de La Femme infidĂšle de Claude Chabrol. Connie, archĂ©type de la bourgeoise qui s'encanaille, prĂ©fĂšre son amant de Soho Olivier Martinez Ă la petite vie tranquille de sa maison du Connecticut. C'est dans un train qui sort de Grand Central qu'elle se souvient de sa premiĂšre infidĂ©litĂ©, excitĂ©e par cette nouvelle aventure. Et puis il y a Grand Central rĂȘvĂ©, imaginĂ©, rĂ©inventĂ©. Dans Superman 1978, de Richard Donner, Lex Luthor encore Gene Hackman installe son quartier gĂ©nĂ©ral dans ses sous-sols dĂ©laissĂ©s, des kilomĂštres de tunnels traversant Manhattan. La gare sera implacablement dĂ©truite dans Armageddon 1998, de Michael Bay, et dans les films catastrophe qui prennent New York comme cible. Mais elle survivra au Manhattan post-apocalyptique de Je suis une lĂ©gende 2007, de Francis Lawrence. Et c'est sous le regard impassible de la statue de Cornelius Vanderbilt que son personnage principal, Robert Neville Will Smith, l'un des rescapĂ©s d'une Ă©pouvantable Ă©pidĂ©mie, manquera de se faire dĂ©vorer par des zombies vampires, alors que le soleil se couche lentement sur les gratte-ciel abandonnĂ©s. Isabelle PiquerMadrid, correspondance Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil Ă la fois Ce message sâaffichera sur lâautre appareil. DĂ©couvrir les offres multicomptes Parce quâune autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil Ă la fois ordinateur, tĂ©lĂ©phone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? 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Pourles dĂ©cors, outre les scĂšnes Ă Gavarnie, on reconnaĂźt bien une scĂšne de voiture qui se passe sur la 2x2 voie entre ArgelĂšs-Gazost et Lourdes, et des dĂ©cors autour de GĂšdre. Les noms de GĂšdre, Pierrefitte, SauguĂ© et mĂȘme du quartier de LaubadĂšre Ă Tarbes sont Ă©voquĂ©s par les personnages du film.
News Bandes-annonces Casting Critiques spectateurs Critiques presse VOD Blu-Ray, DVD Spectateurs 3,3 2547 notes dont 256 critiques noter de voirRĂ©diger ma critique Synopsis Wonder Wheel croise les trajectoires de quatre personnages, dans l'effervescence du parc dâattraction de Coney Island, dans les annĂ©es 50 Ginny, ex-actrice lunatique reconvertie serveuse ; Humpty, opĂ©rateur de manĂšge mariĂ© Ă Ginny ; Mickey, sĂ©duisant maĂźtre-nageur aspirant Ă devenir dramaturge ; et Carolina, fille de Humpty longtemps disparue de la circulation qui se rĂ©fugie chez son pĂšre pour fuir les gangsters Ă ses trousses. Regarder ce film Acheter ou louer sur CANAL VOD VIVA Location dĂšs 2,99 ⏠HD UniversCinĂ© Location dĂšs 3,99 ⏠Canal VOD Location dĂšs 2,99 ⏠PremiereMax Location dĂšs 2,99 ⏠HD Voir toutes les offres VODService proposĂ© par Wonder Wheel Blu-ray Voir toutes les offres DVD BLU-RAY Bande-annonce 130 131 Interview, making-of et extrait 523 DerniĂšres news 24 news sur ce film Acteurs et actrices Casting complet et Ă©quipe technique Critiques Presse Positif Studio CinĂ© Live Transfuge 20 Minutes CinemaTeaser Elle Femme Actuelle La SeptiĂšme Obsession La Voix du Nord Le DauphinĂ© LibĂ©rĂ© Le Point Les Inrockuptibles Marianne Ouest France TĂ©lĂ©rama Voici Bande Ă part Ecran Large Franceinfo Culture L'Obs Le Journal du Dimanche Le Monde Les Fiches du CinĂ©ma TĂ©lĂ© 7 Jours Cahiers du CinĂ©ma Le Figaro PremiĂšre VSD L'Express L'HumanitĂ© Chaque magazine ou journal ayant son propre systĂšme de notation, toutes les notes attribuĂ©es sont remises au barĂȘme de AlloCinĂ©, de 1 Ă 5 Ă©toiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus. 34 articles de presse Critiques Spectateurs Wonder Wheel » met en vedette une Kate Winslet, resplendissante et trĂšs en forme, si bien que lâactrice porte le film quasiment seule... Son jeu est excellent dans sa diversitĂ©, et autant dire que les Ă©tapes par lesquelles elle passe lui en donne lâoccasion ! De plus, elle y resplendit aussi, tant la qualitĂ© de la photographie la met en valeur, dans une gamme de teintes tout en clair obscur, que lâon aura rarement lâoccasion de ... Lire plus "Wonder Wheel", 47Ăšme long-mĂ©trage du grand conteur d'histoire Woody Allen, s'inscrit dans la pure tradition des intrigues mĂ©lodramatique théùtrales aux personnages complexes et tourmentĂ©s, jamais stĂ©rĂ©otypĂ©s. Le cadre de ce parc d'attractions de Coney Island Ă New York est fascinant dans sa reproduction visuelle, Ă la fois colorĂ©, bondĂ©, bruyant et hypnotisant, mais aussi dans sa contradiction Ă l'intensitĂ© des sentiments des ... Lire plus VoilĂ Ă nouveau un excellent film de ce rĂ©alisateur. Il s'agit d'un drame qui se passe dans les annĂ©es 50 Ă proximitĂ© d'un parc d'attractions il y a notamment une grande roue qui s'appelle "wonder wheel" Ă Coney Island un quartier de New York. La rĂ©alisation et l'interprĂ©tation sont parfaites. K. Winslet est magistrale dans son rĂŽle de femme en souffrance. Ce film est trĂšs colorĂ© et c'est beau Ă voir. Il y a beaucoup de ... Lire plus Est-il possible aujourdâhui dâapprĂ©cier sereinement un film de Woody Allen sans parler des accusations portĂ©es contre lui par sa fille adoptive Dylan Farrow, accusations que le scandale de lâaffaire Weinstein a remises sur le devant de la scĂšne ? Le cinĂ©aste nâa jamais cessĂ© de dĂ©mentir les abus sexuels qui lui sont reprochĂ©s et il nây a pas de raison de lui refuser la prĂ©somption dâinnocence Ă laquelle a droit toute personne ... Lire plus 256 Critiques Spectateurs Photos 27 Photos Secrets de tournage Woody Allen Ă New York Woody Allen a dĂ©cidĂ© de situer l'action de son 47Ăšme long-mĂ©trage autour de la grande roue de Coney Island. Le cinĂ©aste a toujours Ă©prouvĂ© une grande tendresse pour cette pĂ©ninsule situĂ©e Ă l'extrĂȘme sud de Brooklyn. Ce nâest dâailleurs pas un hasard si, dans Annie Hall, le petit Alvy Singer grandit Ă proximitĂ© du parc dâattraction. Le cinĂ©aste en garde des souvenirs dâenfance joyeux "Quand je suis nĂ©, lâĂ©poque florissante de Coney Island Lire plus Amour et trahison Comme souvent chez Woody Allen, Wonder Wheel mĂȘle amour et trahison. "Quâon se plonge dans les tragĂ©dies grecques, ou quâon lise Stendhal, TolstoĂŻ ou Dickens, les relations amoureuses sont omniprĂ©sentes car elles sont sources dâangoisses et de conflits. Elles font surgir des Ă©motions et des situations, Ă la fois complexes, profondes, intenses, dĂ©routantes et fortes. Je me suis toujours intĂ©ressĂ© aux problĂšmes des femmes. Au fil des siĂšcles, les h Lire plus Pourquoi Wonder Wheel ? Si le film sâappelle Wonder Wheel en raison de lâattraction constamment visible depuis lâappartement familial, le titre comporte aussi une rĂ©sonance mĂ©taphorique. "Ces personnages sont enfermĂ©s dans une sorte de boucle comportementale qui se rĂ©pĂšte indĂ©finiment. MĂȘme sâils ont vraiment envie de changer, Humpty et Ginny sont prisonniers de leur tempĂ©rament profond. Leur vie dĂ©crit une forme de cercle vicieux et ils sont victimes de leur dĂ©pendance Lire plus 11 Secrets de tournage Infos techniques NationalitĂ© Distributeur Mars Films AnnĂ©e de production 2017 Date de sortie DVD 29/05/2018 Date de sortie Blu-ray 27/06/2018 Date de sortie VOD 19/06/2018 Type de film Long-mĂ©trage Secrets de tournage 11 anecdotes Box Office France 371 441 entrĂ©es Budget - Langues Anglais Format production - Couleur Couleur Format audio - Format de projection - N° de Visa 148131 Si vous aimez ce film, vous pourriez aimer ... Commentaires
Retrouvezgratuitement et en exclusivité tous les replay, videos, exclus et news de Naturopolis sur TF1. Comment les mégalopoles tentent de se réconcilier avec la nature. En quatre volets, une
Sâil y a bien une chose quâHollywood aime faire, câest dĂ©truire les villes amĂ©ricaines les plus emblĂ©matiques. San Francisco et son pont, Los Angeles et son panneau âHollywoodâ, et bien sĂ»r New York et ses gratte-ciels. Le cinĂ©ma catastrophe est un genre fort reprĂ©sentĂ© dans lâHistoire du cinĂ©ma. La liste des films est interminable! On pourra penser Ă Armageddon, 2012, La Guerre des mondes, Cloverfiled, Independance Day, Twister, Mars Attacks, Le Pic de Dante, Titanic, etc. Que ce soit une invasion extra-terrestre ou les Ă©lĂ©ments naturels qui se dĂ©chaĂźnent, New York nâa jamais Ă©tĂ© Ă©pargnĂ©e par le cinĂ©ma. Mais le film catastrophe, câest aussi un incendie dans une tour, un bateau qui coule, ou un tunnel qui sâeffondre. Nous proposons ici une liste des meilleurs films qui se dĂ©roulent Ă New York, parmi ceux-lĂ , certains sont en par ailleurs catastrophiques⊠Une liste de films catastrophe qui se passent Ă New York Independence Day â Roland Emmerich Petite madeleine de Proust pour ceux qui Ă©taient assez grands pour le voir lors de sa sortie, Independence Day ne brille ni par son histoire trĂšs classique, ni par ses acteurs et actrices qui parfois jouent un peu faux, mais bien parce quâil sâassume totalement et quâil est rempli de scĂšnes gĂ©niales. New York dans tout ça? Quelques belles images de Manhattan et de ses buildings qui explosent. Godzilla â Roland Emmerich Cette fois, New York est au centre de lâhistoire, et câest un lĂ©zard nuclĂ©aire gĂ©ant qui va tout casser! Et on ne va pas se mentir, câest mauvais, pas trĂšs bien fait, pas trĂšs bien jouĂ©, un peu long⊠Mais ça se passe Ă New York City, il y a un monstre gĂ©ant qui dĂ©truit tout, et finalement, est-ce que câest pas ça quâon attend dâun Godzilla? Peut-ĂȘtre si, mais on nâaurait pu faire une histoire moins rocambolesque et un peu plus sombre aussi⊠Le Jour dâAprĂšs â Roland Emmerich Roland Emmerich doit aimer New York, ou bien nâa-t-il pas vu grand chose des Etats-Unis⊠Quoiquâil en soit, le meilleur rĂ©alisateur allemand de films catastrophes laisse les monstres de cĂŽtĂ© pour mettre en avant les problĂšmes environnementaux de notre chĂšre vieille Terre. Si le rĂ©sultat nâest pas extraordinaire, et si la plupart du film se passe dans une bibliothĂšque glacĂ©e, ce film est surtout lâoccasion de voir une New York apocalyptique, coincĂ©e sous la glace. Armageddon â Michael Bay Si le film ne se passe que trĂšs peu Ă New York, Armageddon nous gratifie dâune jolie scĂšne de mĂ©tĂ©ores dĂ©truisant la ville avec en point de mire le Chrysler Building coupĂ© en deux qui sâeffondre. Sinon yâa Bruce Willis et Ben Affleck qui jouent mal, ça tire Ă fond sur la corde sensible, ça en fait des tonnes. Câest du grand spectacle, nâen doutons pas, mais de lĂ Ă dire que câest du bon spectacle, il y a un gouffre⊠Deep Impact â Mimi Leder En 1998, la mĂȘme annĂ©e, sortent Deep Impact et Armageddon qui racontent la mĂȘme histoire une mĂ©tĂ©orite va sâĂ©craser sur la Terre et tuer tout le monde. Sauf que la proposition des deux films est diffĂ©rente. Deep Impact est plus sombre, plus rĂ©aliste peut-ĂȘtre, mieux jouĂ©, et lâintensitĂ© dramatique plus aboutie. Concernant New York, câest surtout lâoccasion de voir un raz de marĂ©e dĂ©truire la ville. Attention, je nâai aucune fascination pour la destruction de New York! Bien au contraire! Mais bon, faut dire que les AmĂ©ricains aiment bien la dĂ©truire⊠Cloverfield â Matt Reeves Ah! Un lĂ©zard gĂ©ant qui attaque Big Apple! Godzilla? Pas tout Ă fait! Mais pas loin! âFilmĂ© par les personnagesâ, Cloverfield est un film spectaculaire, intense et puissant. De New York, on y verra le Pont de Brooklyn, les rues de Manhattan, le sommet de quelques buildings, mais aussi le mĂ©tro et Central Park. Film sans concession, il fait partie de ces films catastrophes qui se dĂ©roulent Ă New York qui valent le dĂ©tour! Daylight â Rob Cohen Bien sĂ»r, le meilleur film de cette liste est un film dans lequel se trouve Sylvester Stallone! Bon allez, soyons sĂ©rieux! Daylight nâest pas le Stallone le plus connu, mais au final, câest loin dâĂȘtre le pire! Un tunnel de New York sâeffondre et Stallone tente de sauver les survivants. Bien sĂ»r, comme tout bon film catastrophe du genre, rien ne va en sâarrangeant. Dans la droite lignĂ©e de films comme La Tour Infernale, Daylight souffre dâune rĂ©alisation faiblarde et de personnages caricaturaux. Cela Ă©tant dit, ça se laisse regarder, et puis ça se passe Ă New York! Câest quoi votre excuse? La Guerre des Mondes â Steven Spielberg Vous allez ĂȘtre déçus⊠Oui, on voit New York dans La Guerre des Mondes, Ă la toute fin du film lorsque Tom Cruise ramĂšne ses enfants Ă leur mĂšre à ⊠Boston. Oui, ils ont tournĂ© une scĂšne qui se passe Ă Boston Ă New York⊠ça arrive! Sinon, le dĂ©but du film se passe pas loin de New York dans le New Jersey, donc si vous passez non loin de lĂ , ça sera lâoccasion de jeter un coup dâoeil sur le magnifique pont dĂ©truit dans la film! Par ailleurs, nâessayez pas de prendre le ferry, il nâexiste plus! Autres listes de films qui se passent Ă New York Films qui se passent Ă New York Ă voir sur NetflixFilms qui se passent Ă New York Ă voir sur Amazon Prime Video10 films de science-fiction qui se passent Ă New YorkMeilleurs films policiers qui se passent Ă New YorkMeilleurs films fantastiques qui se passent Ă New York10 bonnes comĂ©dies romantiques qui se passent Ă New York5 films qui se passent Ă Brooklyn, New York Musiques de films qui ont lieu Ă New York Musiques de films qui se passent Ă New York 1 Critiques de films New York 1997 â John Carpenter
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film qui se passe Ă new york