setermine dans plus de 30 jours LE TOUQUET-PARIS-PLAGE Visite « MĂ©moires d’artistes » au musĂ©e Mercredi 22 dĂ©cembre 2021 Ă  15h Mercredi 29 dĂ©cembre 2021 Plus d’informations se termine dans plus de 30 jours LE TOUQUET-PARIS-PLAGE Visite guidĂ©e du musĂ©e "LUMIÈRE D’OPALE" Les 27 et 31 octobre 2021 Les 3, 7, 14, 21 et 28 novembre
SociĂ©tĂ© Il y a 44 minutes Le but du couple est d’amener des gens Ă  se mettre Ă  vĂ©lo et se dĂ©placer de façon plus durable» Ce couple a parcouru 7200 km Ă  travers 7 pays europĂ©ens en dessinant un vĂ©lo sur leur GPS Championnats du monde de kayak-polo PubliĂ© le 19/08/2022 C’est encore difficile pour les Français dans cette quatriĂšme journĂ©e des championnats du monde de kayak-polo. À Saint-Omer, sur l’eau, les hommes jouent avec le feu Faits divers PubliĂ© le 19/08/2022 Cet agriculteur, dont la retraite sonnera en mars 2023, compte transmettre l’affaire Ă  son fils Ardennes un agriculteur victime d’un incendie dans son exploitation, des jeunes du village sauvent ses bĂȘtes Recrutement PubliĂ© le 19/08/2022 Pourquoi pas vous ? Le CIS de Laventie recrute ses nouveaux sapeurs-pompiers volontaires Drame PubliĂ© le 19/08/2022 Les pompiers de Marquise et de Boulogne-sur-Mer sont arrivĂ©s sur place Hardinghen un motard de 33 ans meurt dans un accident, jeudi 18 aoĂ»t MĂ©tĂ©o PubliĂ© le 18/08/2022 PlongĂ©e dans les archives et dans les relevĂ©s mĂ©tĂ©orologiques Flandre l’étĂ© 1976 est-il comparable Ă  celui de 2022 ? Tourisme La rĂ©alitĂ© virtuelle comme moyen d'attirer les touristes en Flandre Social PubliĂ© le 18/08/2022 Cette prime exceptionnelle de rentrĂ©e n’a rien Ă  voir avec l’allocation de rentrĂ©e scolaire L’aide exceptionnelle de rentrĂ©e sera versĂ©e le 15 septembre Ă  plus de 10 millions de foyers CĂ©rĂ©monie NeufchĂątel-Hardelot un hommage aux chiens morts pendant les conflits Sauvetage PubliĂ© le 18/08/2022 Ce sont 62 personnes sur la premiĂšre embarcation et 39 sur la deuxiĂšme qui ont Ă©tĂ© secourues DĂ©troit du Pas-de-Calais Une centaine de personnes secourues en mer MĂ©tĂ©o PubliĂ© le 18/08/2022 Selon le dernier bilan des autoritĂ©s, trois personnes sont dĂ©cĂ©dĂ©es, dont une adolescente de 13 ans Corse le bilan s’alourdit, on compte dĂ©sormais 5 morts aprĂšs les violents orages de ce jeudi matin Manifestation PubliĂ© le 18/08/2022 Les agriculteurs rĂ©clament une juste rĂ©munĂ©ration Bailleul les producteurs de lait manifestent Ă  Leclerc provoquant la fermeture du magasin Incident À Wimille, des vaches s’échappent SociĂ©tĂ© PubliĂ© le 18/08/2022 La dĂ©molition du chĂąteau est prĂ©vue Ă  la fin de l’annĂ©e À Louvroil, prĂšs de Maubeuge, un chĂąteau sera rasĂ© pour faire place Ă  un supermarchĂ© Fait divers Au Portel, il tue son chat en le claquant contre un mur DĂ©linquance PubliĂ© le 18/08/2022 Les professionnels du monde de la nuit ont dĂ©jĂ  alertĂ© Ă  plusieurs reprises Les professionnels de la nuit calaisienne tirent la sonnette d’alarme aprĂšs une scĂšne de grande violence MĂ©tĂ©o PubliĂ© le 18/08/2022 Les pompiers du Pas-de-Calais ont communiquĂ© un bilan des interventions en lien avec la vigilance orange pour orages Orages les pompiers du Pas-de-Calais sont intervenus plus de 100 fois mercredi 17 aoĂ»t ÉvĂ©nement PubliĂ© le 18/08/2022 Rendez-vous les samedi 10 et dimanche 11 septembre Excellents prĂ©sages pour la 13e FĂȘte des SorciĂšres de Morbecque IntempĂ©ries PubliĂ© le 17/08/2022 Les pompiers tournent sur le secteur Suite aux orages, des supermarchĂ©s touchĂ©s et des routes inondĂ©es Ă  La Gorgue, Estaires et Lestrem Championnats du monde de kayak-polo Du monde et du spectacle Ă  Saint-Omer pour les championnats du monde de kayak-polo MĂ©tĂ©o PubliĂ© le 17/08/2022 Dans un premier bilan Ă  17h30, les pompiers du Pas-de-Calais font Ă©tat de 48 interventions Les pompiers du Pas-de-Calais sont dĂ©jĂ  intervenus 48 fois Ă  cause des orages ce mercredi Agriculture PubliĂ© le 17/08/2022 La famille milite pour le bien-ĂȘtre animal Le Doulieu comment la ferme Wattelle chouchoute ses vaches MĂ©tĂ©o PubliĂ© le 17/08/2022 Le Nord et le reste des Hauts-de-France restent en jaune Orages le Pas-de-Calais placĂ© en orange par MĂ©tĂ©o France, le Nord reste en jaune MĂ©tĂ©o PubliĂ© le 17/08/2022 La dĂ©gradation orageuse principale interviendra au cours de cet aprĂšs-midi SĂ©cheresse pourquoi le retour de la pluie n’est pas forcĂ©ment une bonne nouvelle Course Ă  pied PubliĂ© le 17/08/2022 Il est encore possible de s’inscrire 1 500 coureurs au dĂ©part de l’Urban Trail de Cassel samedi Faits divers PubliĂ© le 17/08/2022 GĂ©rald Darmanin a annoncĂ© une intensification des contrĂŽles dans toute la France contre les rodĂ©os urbains Marseille un homme de 19 ans se tue Ă  moto alors qu’il faisait une roue arriĂšre Sauvetage PubliĂ© le 17/08/2022 Parmi eux, une adolescente de 15 ans a Ă©tĂ© transportĂ©e au CHD. 50 exilĂ©s sauvĂ©s en mer au large de Leffrinckoucke Consommation PubliĂ© le 17/08/2022 Plusieurs rĂ©fĂ©rences de quatre-quarts font actuellement l’objet d’un rappel dans la France entiĂšre Plusieurs lots de quatre-quarts sont rappelĂ©s en raison d’un risque de corps Ă©trangers mĂ©talliques Faits divers PubliĂ© le 17/08/2022 Le parquet de Bruxelles juridiction du lieu de domicile de la famille devrait ouvrir un dossier protectionnel Enfants trouvĂ©s entre des sacs en Belgique pas de pĂ©ril grave imminent », donc pas de poursuites Handicap PubliĂ© le 17/08/2022 Depuis le 11 aoĂ»t Le Touquet fait partie des 122 plages labellisĂ©es Le Touquet obtient le label Handiplage pour 5 annĂ©es Violences PubliĂ© le 16/08/2022 Il Ă©tait placĂ© en contrĂŽle judiciaire pour avoir frappĂ© menacĂ© de mort sa dĂ©sormais ex-copine ĂągĂ©e de 16 ans MĂ©ricourt malgrĂ© l’interdiction de s’en approcher, il retrouve son ex-copine et la tabasse SantĂ© PubliĂ© le 16/08/2022 Ces recrutements ont permis aux titulaires de prendre des congĂ©s et de souffler un peu Les efforts ont payĂ©, l’hĂŽpital d’Hazebrouck a rĂ©ussi Ă  recruter infirmiers et aides-soignants MĂ©contentement Warhem des riverains en colĂšre aprĂšs l’annonce de l’implantation d’une antenne relais IncomprĂ©hension PubliĂ© le 16/08/2022 Elle regrette que le rectorat l’ait laissĂ©e passer le concours Volckerinckhove refusĂ©e au concours de professeur des Ă©coles parce que ses enfants sont mort-nĂ©s Championnats du monde de kayak-polo PubliĂ© le 16/08/2022 Pour son premier match de coupe du monde, les U21 français ont Ă©tĂ© tenus en Ă©chec par la Suisse. Saint-Omer dĂ©buts timides pour l’équipe de France U21 hommes SociĂ©tĂ© PubliĂ© le 16/08/2022 En France, 2 millions de femmes n’auraient pas les moyens de se procurer rĂ©guliĂšrement des protections hygiĂ©niques L’Écosse devient le premier pays Ă  lĂ©galiser l’accĂšs gratuit aux protections pĂ©riodiques Faits divers PubliĂ© le 16/08/2022 Une enquĂȘte de police devrait ĂȘtre ouverte Belgique deux bĂ©bĂ©s trouvĂ©s Ă  peine conscients » dans un parc de loisirs, les parents furieux contre les sauveteurs SociĂ©tĂ© PubliĂ© le 16/08/2022 Sa fille, Marwa, est dĂ©cĂ©dĂ©e le 7 aoĂ»t, quelques jours aprĂšs le vol du tĂ©lĂ©phone contenant toutes les photos Reims appel Ă  l’aide d’une maman Ă  qui on a volĂ© son tĂ©lĂ©phone contenant des photos de sa fille de 4 ans dĂ©cĂ©dĂ©e d’un cancer Social PubliĂ© le 16/08/2022 L’allocation de rentrĂ©e scolaire est versĂ©e Ă  environ 3 millions de familles, pour 5 millions d’enfants Premier versement de l’allocation de rentrĂ©e 2022 ce mardi, combien allez-vous percevoir ? Passion PubliĂ© le 16/08/2022 Le carillonneur joue Ă  Hondschoote, Dunkerque et Cappelle-la-Grande À 84 ans, Alfred Lesecq fait encore vivre les carillons de Flandre Tradition PubliĂ© le 16/08/2022 Quinze attelages de chevaux de traits Ă©taient en compĂ©tition FĂȘte de l’attelage de Berthen immersion avec Églantine pour son premier concours vidĂ©o L’ENTRETIEN PubliĂ© le 15/08/2022 Championnats du monde de kayak-polo Ă  Saint-Omer. Entretien avec Thomas Berthelemy, coach de l’équipe de France senior. Championnats du monde de kayak-polo Ă  Saint-Omer Un Audomarois Ă  la tĂȘte de l’équipe de France Sport automobile PubliĂ© le 15/08/2022 Une Ă©preuve du rallye d’Ypres passera par BoeschĂšpe et le Mont Noir Des essais Ă  Hardifort en vue du rallye d’Ypres prĂ©vu ce week-end Championnat du monde de kayak-polo PubliĂ© le 15/08/2022 En marge des championnats du monde de kayak-polo Ă  Saint-Omer, profitez des animations gratuites. À Saint-Omer, un tas d’animations gratuites autour de la compĂ©tition dĂšs mardi 16 aoĂ»t Festival PubliĂ© le 15/08/2022 La FĂȘte mĂ©diĂ©vale de Watten, c’est toute la journĂ©e, ce lundi 15 aoĂ»t ! La FĂȘte mĂ©diĂ©vale du 15 aoĂ»t Ă  Watten tient toutes ses promesses Loisirs PubliĂ© le 15/08/2022 Vous nous avez aidĂ©s Ă  crĂ©er une carte interactive des feux d’artifice de cet Ă©tĂ© 2022 dans le Nord et Pas-de-Calais Voici la carte et liste des feux d’artifice de cet Ă©tĂ© dans le Nord et Pas-de-Calais Faits divers PubliĂ© le 14/08/2022 On a relevĂ© des dizaines de cadavres. Aire-sur-la-Lys des canards retrouvĂ©s morts dans la Lys Tourisme PubliĂ© le 14/08/2022 On a goĂ»tĂ© et on a... approuvĂ© ! Flandre-Lys comment l’association Lys sans frontiĂšres a mis la Lys en bouteille vidĂ©o Accident PubliĂ© le 14/08/2022 Mort au volant de son scooter. Lillers un jeune homme de 23 ans est dĂ©cĂ©dĂ© rue d’Houdain Radio PubliĂ© le 14/08/2022 La radio a enregistrĂ© son record en 2020 avec 30,6% d’audience quotidienne. Delta FM, leader depuis 16 ans dans la rĂ©gion, est en lĂ©gĂšre baisse d’audience cette annĂ©e
Douai– Braderie, brocante avec 250 exposants, de 8h Ă  16h30. Rue de Touraine, rue du Poitou, rue d’Anjou, rue des Bergeronnettes. Terrain des glacis, allĂ©e des glacis. Gravelines – Braderie avec 300 exposants, de 6h Ă  18h. Sachez que vous pouvez suivre Lille Actu dans l’espace Mon Actu . Flandre Occidentale . La CIL se lance, Ă  la fin des annĂ©es 40, dans un programme de lotissement, qui va se dĂ©velopper sur plusieurs communes. AprĂšs le programme 1947-48 comprenant le Galon d’eau et 150 logements aux trois Baudets, prĂ©figuration des autres constructions qui vont suivre, le programme 48-49 prĂ©voit des logements notamment Ă  Tourcoing et Ă  la Lionderie Ă  Hem. Mais on prĂ©pare dĂ©jĂ  la suite en effet, au Nouveau Roubaix, de vastes terrains sont alors occupĂ©s par des jardins ouvriers. Ces terrains, achetĂ©s pour la plupart par la ville Ă  la SociĂ©tĂ© Lemaire et Lefebvre dans la premiĂšre partie du siĂšcle, sont disponibles pour un vaste plan de lotissement en maisons individuelles mis en Ɠuvre par le CIL. Photo IGN 1947 En 1948, alors que les premiers habitants emmĂ©nagent aux trois Baudets en bordure de l’avenue Motte, la ville demande Ă  la SNCF de dĂ©saffecter la plate-forme de la gare de dĂ©bord dĂ©truite pendant la guerre pour pouvoir y construire des logements. La voie-mĂšre qui empruntait le terre-plein central de l’avenue Motte serait rĂ©amĂ©nagĂ©e en piste cyclable. Le projet prend corps fin 1949 avec la cession de terrains appartenant Ă  la ville Ă  la sociĂ©tĂ© d’habitation populaire Le Toit Familial. La premiĂšre zone concernĂ©e est limitĂ©e par les rues Mignard, Motte, Delory et Horace Vernet Ă  part un rectangle situĂ© sur la ferme de la Haye oĂč s’installera l’école Ste Bernadette. Elle reprĂ©sente 32500 m2 pour 227 maisons. On prolonge Ă  cet effet la rue Horace Vernet jusqu’à l’avenue Delory. Une deuxiĂšme zone situĂ©e Ă  l’extrĂ©mitĂ© du boulevard de Fourmies et limitĂ©e par l’avenue Motte et la rue Mignard. 8500 m2 sera lotie Ă©galement, ainsi qu’une troisiĂšme situĂ©e en bordure de l’avenue Motte Ă  l’emplacement des anciens baraquements dĂ©molis pendant la guerre et l’emplacement de la gare de dĂ©bord. Ceci reprĂ©sente 11 000 m2 de terrains pour 143 maisons Document Nord Matin 1948 Les photos nous montrent la construction de la citĂ© des 3 Baudets, dont le modĂšle sera repris pour le projet actuel. Les travaux dĂ©marrent et les premiĂšres maisons s’élĂšvent dĂšs 1950. La photo aĂ©rienne montre les maisons implantĂ©e au milieu de jardins, comme le prĂ©conise le CIL. Photo Archives municipales Mais le CIL va entreprendre une autre tranche de travaux. Il envisage de bĂątir de l’autre cĂŽtĂ© de l’avenue Delory, sur l’emplacement de la ferme de Gourguemez ce qui deviendra la citĂ© du Maroc. En attendant, 1951 voit le dĂ©marrage des travaux du groupe Carpeaux-Pigouche, entre les rues Regnault, Edouard Vaillant et l’avenue Delory. Le groupe Pigouche reprĂ©sente 45 logements, le groupe Carpeaux 54. Ces constructions sont rĂ©servĂ©es Ă  l’accession Ă  la propriĂ©tĂ©. Elles possĂšdent le Chauffage central. Certaines doivent ĂȘtre en briques rouges, les autres en briques blanches. Document Nord Matin 1951 En parallĂšle Ă  ces travaux, on amĂ©nage l’avenue Motte et son terre-plein central pour y crĂ©er une promenade bordĂ©e d’arbres le long de laquelle on installe des bancs publics. Documents Nord Eclair 1955 Le quartier prend petit Ă  petit l’aspect qu’on lui connaĂźt aujourd’hui. Document Collection particuliĂšre AprĂšs la premiĂšre guerre, de grandes opĂ©rations de souscription sont lancĂ©es au profit des mutilĂ©s. C’est ainsi que le 14 octobre 1923, une maison du boulevard de Fourmies est proposĂ©e comme don en prĂ©sence de Me Gaillard, huissier et de cinq orphelines de guerre. Tout cela se dĂ©roule place du Travail. La maison est le premier lot », mais il y en a d’autres une cuisiniĂšre Ă©maillĂ©e, une bicyclette, une garniture de cheminĂ©e, une coupe de fruits, un lit, une bicyclette pour enfants et d’autres choses encore. La distribution de ces objets est effectuĂ©e chez M. Roger, 42 rue Daguesseau. Villa La DĂ©livrance en 1923 Photo Journal de Roubaix C’est Ă  l’occasion des fĂȘtes de la DĂ©livrance, qui se sont dĂ©roulĂ©es dans les quartiers du Moulin, du Raverdi, de la Potennerie et du Nouveau Roubaix. Le tirage a eu lieu un dimanche Ă  10 heures, sur un podium de la Place du Travail, pavoisĂ©e de drapeaux français et belges. La maison a Ă©tĂ© nommĂ©e maison de la DĂ©livrance ». M. Friant prĂ©sident du comitĂ© des fĂȘtes officie, entourĂ© des membres du comitĂ© des mutilĂ©s et Me Gaillard. Deux mille personnes entourent le podium sur lequel se trouvent cinq orphelines de guerre Melles Marcelle Jouvenaux, Raymonde Meunier, Marie Mouray, Marie Pardoen, LĂ©onie Blondel, en costumes d’alsacienne ou de lorraine. Chacune est placĂ©e devant une roue. Les orphelines Photo Journal de Roubaix Une symphonie sous la direction de M. Debeyne se fait alors entendre. Puis on procĂšde au tirage, le n°5580 sort. Mais personne ne bouge, ni ne rĂ©pond. On poursuit, la cuisiniĂšre est au n° Ă  Melle Vandenbulck qui demeure rue Carpeaux. PrĂšs de 200 numĂ©ros sont ainsi tirĂ©s pour billets au moins. Me Gaillard dresse le procĂšs-verbal de circonstance. Mais qui est le gagnant de la Maison de la DĂ©livrance ? On fait des recherches et on trouve que l’heureux gagnant de la maison se nomme ThĂ©ophile Declercq et qu’il habite rue de Naples cour Delacroix Ă  Roubaix. Une auto est mise Ă  la disposition des membres du comitĂ© qui se rendent chez le susnommĂ©. Emotion, on ne veut pas croire au bonheur. M. ThĂ©ophile Declercq est ĂągĂ© de 67 ans et il travaille comme ouvrier tisserand chez Glorieux et Therpon rue du Favreuil, sa femme et lui originaires de Gand. Ils montrent une photographie de leur fils mort il y a deux ans des suites de ses blessures de guerre. Puis, on les emmĂšne en auto Ă  la Place du Travail oĂč ils sont accueillis par la Marseillaise et la Brabançonne. Un Vin d’honneur est offert dans un cafĂ© tout proche, les gagnants reçoivent les fĂ©licitations de M. Friant qui remercie Ă©galement l’huissier et le Journal de Roubaix. Villa La DĂ©livrance aujourd’hui Vue Google maps Il y eut de nombreux gagnants, et pour ceux qui n’ont gagnĂ© ni la maison, ni autre chose, l’horlogerie bijouterie Duhamel LardĂ© propose de rembourser un billet pour un achat de 20 francs en sa boutique. Le travail de mĂ©moire n’est pas terminĂ©, il faudrait pouvoir retrouver le nom de l’architecte qui a conçu la maison et celui de l’entrepreneur qui l’a bĂątie. L’usine CĂ©sar Pollet et frĂšres Coll ParticuliĂšre L’usine de CĂ©sar et Joseph Pollet fut construite en 1903, c’est une filature de laines peignĂ©es, une retorderie et un tissage. La maison mĂšre, manufacture de tissus pour robes et draperies, fut créée rue Nain en 1831 par Joseph Pollet. En 1950, l’usine Pollet se situe au n°153 rue Edouard Vaillant. C’est dans cette usine que cinq sƓurs d’une mĂȘme famille, les sƓurs Leclercq, ont travaillĂ© pendant plus de 30 ans. En 1950, un article de presse leur est consacrĂ©, qui nous apprend que Jeanne, ClĂ©mence, Laure, ZoĂ© et CĂ©lina totalisent ensemble 174 annĂ©es de travail chez Pollet. Elles sont toutes titulaires de la mĂ©daille du travail. Voici leur histoire. Les cinq sƓurs Leclercq Photo NE D’abord la famille, prĂ©sente depuis plus d’un siĂšcle Ă  Roubaix. Le pĂšre Florimond Eloi Leclercq est nĂ© Ă  Roubaix en 1868. Il habite rue du Tilleul, aujourd’hui rue Jules Guesde il est domestique Ă  la naissance de sa premiĂšre fille, en 1897. Le grand pĂšre Charles Ferdinand Henri Leclercq est nĂ© Ă  Roubaix en 1820, et il est fileur. L’arriĂšre-grand-pĂšre Florentin Leclercq est nĂ© en 1789, il est tisserand Ă  Roubaix. VoilĂ  donc une famille prĂ©sente Ă  Roubaix depuis au moins un siĂšcle et demi. Jeanne EspĂ©rance Leclercq Ă©pouse Turpin est nĂ©e en 1897 Ă  Roubaix, s’est mariĂ©e au mĂȘme endroit en 1920. Elle est entrĂ©e Ă  l’usine Pollet le 11 novembre 1912, Ă  l’ñge de 15 ans. En 1950, elle exerce la profession de soigneuse de continu Ă  filer. C’est un travail qui nĂ©cessite une position debout permanente, avec de frĂ©quents dĂ©placements entre les diffĂ©rentes machines, dans le bruit, l’humiditĂ© et la chaleur. Elle est domiciliĂ©e avenue LinnĂ©, Square des Platanes. ClĂ©mence Madeleine Leclercq Ă©pouse Delaender est nĂ©e en 1898 Ă  Roubaix, oĂč elle s’est mariĂ©e en 1924. Elle commence Ă  travailler chez Pollet le 30 dĂ©cembre 1912, Ă  l’ñge de 14 ans. En 1950, elle exerce la profession de soigneuse de prĂ©paration, comme sa sƓur ainĂ©e. Laure Leclercq Ă©pouse Dutilleul est nĂ©e en 1902. Elle est entrĂ©e Ă  l’usine le 10 septembre 1914, l’ñge de 12 ans. En 1950, elle est papillonneuse chez Pollet, et elle habite juste Ă  cĂŽtĂ© de l’usine, square des acacias. L’occupation allemande Ă  Roubaix CP MĂ©d Rx Les trois premiĂšres sƓurs ont donc commencĂ© Ă  travailler chez Pollet dans une pĂ©riode difficile. La premiĂšre guerre mondiale venait de commencer. DĂšs octobre 1914, les allemands occupent l’usine, puis rĂ©quisitionnent les matiĂšres et tissus, avant de dĂ©monter tout ce qui pouvait l’ĂȘtre, machines, tuyauteries, cĂąbles, canalisations
 PillĂ©e par les allemands jusqu’en en 1918, cette usine reprit son activitĂ© moins d’un an aprĂšs leur dĂ©part. Le 10 dĂ©cembre 1919, ZoĂ© Leclercq Ă©pouse Hasquette nĂ©e 1904, entre chez Pollet Ă  l’ñge de 15 ans. En 1950, elle est soigneuse de prĂ©paration comme ses sƓurs ainĂ©es, et elle habite Ă©galement square des acacias. Enfin CĂ©lina Leclercq Ă©pouse Debever nĂ©e en 1906, commence Ă  l’usine le 10 dĂ©cembre 1919 Ă  l’ñge de 13 ans. En 1950, elle est Ă©galement soigneuse. Mais ce n’est pas fini ! La famille est Ă©galement concernĂ©e. Florimond Leclercq, le pĂšre a travaillĂ© 25 ans dans la mĂȘme usine. L’épouse de l’un de ses fils nĂ©e Julie Evrard y est entrĂ©e en novembre 1931. Le mari de Jeanne, Alfred Turpin, et son fils y sont Ă©galement. Enfin le mari de ZoĂ©, M. Hasquette y Ă©tait mĂ©canicien. Les trois censes Photo PhW Quand le textile tournait Ă  plein rendement, il n’était pas rare de trouver dans une mĂȘme usine une famille entiĂšre voir notre article les cinq de chez Delescluse aux Trois Ponts. Selon les conditions de travail et les conditions de vie logement et dĂ©placement, il arrivait qu’on fasse l’intĂ©gralitĂ© de sa vie professionnelle dans la mĂȘme entreprise. AprĂšs avoir Ă©tĂ© occupĂ©e par Phildar, l’usine de la rue Edouard Vaillant le fut par les Trois Suisses Ă  partir de 1965. En juin 2013, l’ancien site est transformĂ© en lieu de commerces et d’habitation par la sociĂ©tĂ© Saint-Roch habitat. L’endroit sera dĂ©nommĂ© Les 3 Censes, en rĂ©fĂ©rence Ă  l’ancien caractĂšre champĂȘtre des lieux et Ă  la proximitĂ© d’anciennes grosses fermes aujourd’hui disparues Beaumont, Gourghemetz, La Haye. Sources Nord Éclair, Archives municipales de Roubaix, Ravet Anceau Le boulevard de Fourmies a toujours Ă©tĂ© trĂšs riche en commerces de proximitĂ©. Les commerçants y font des opĂ©rations de promotion, mais, jusque dans les annĂ©es 60, ils agissent en ordre dispersĂ©. Ils vont pourtant s’unir en octobre 1966. et former un comitĂ© pour prĂ©parer les fĂȘtes de fin d’annĂ©e. Ils s’associent Ă  la municipalitĂ© pour installer des illuminations, et lancent, pour attirer la clientĂšle, une premiĂšre quinzaine commerciale, assortie de distributions de louis d’or. Le prĂ©sident est M. Da Silva, M. Fassin est le vice-prĂ©sident, M. Dujardin le trĂ©sorier, et Mme Bacrot la secrĂ©taire. Photo Nord Matin L’annĂ©e suivante, Nord Eclair nous prĂ©cise que l’association reprĂ©sente 27 commerçants, situĂ©s boulevard de Fourmies entre les places Spriet et du Travail, et regroupant tous les types de commerces. Le comitĂ© prĂ©voit de reconduire la quinzaine commerciale Ă  l’automne. Il envisage Ă©galement d’organiser une braderie. On apprend Ă©galement que M. Buisine, prĂ©sident de l’union des commerçants du nouveau Roubaix, est Ă©lu membre de la chambre de commerce mĂ©tropolitaine. Cette mĂȘme union du nouveau Roubaix organise la mĂȘme annĂ©e une manifestation de sympathie Ă  l’occasion du dĂ©part en retraite de M. et Mme Lierman-Delbaert, son vice-prĂ©sident, alors que M. Vandeputte en est le secrĂ©taire. Il existe donc deux comitĂ©s parallĂšles. Quels sont les liens entre les deux ? En tout cas, on n’entend plus parler dans la presse du comitĂ© du Nouveau Roubaix pendant un certain nombre d’annĂ©es ; seul va se manifester celui du boulevard de Fourmies. Les illuminations – document Nord Éclair Celui-ci reconduit fin novembre 1968 les illuminations et la quinzaine commerciale, assortie de cadeaux attrayants il s’agit cette fois de vĂ©los pliants distribuĂ©s Ă  l’issue de trois tombolas. De plus une caravane publicitaire assure durant quinze jours la sonorisation de cette artĂšre. Le projet d’organiser une braderie prend corps on la prĂ©voit un lundi de l’annĂ©e suivante. Elle a bien lieu le lundi 9 juin 1969 Nord Éclair la qualifie de braderie monstre du Nouveau Roubaix ». La braderie en 1985 – photo Lucien Delvarre L’autre point fort de l’annĂ©e reste la quinzaine commerciale de dĂ©cembre, associĂ©e Ă  une caravane publicitaire et une tombola. Une idĂ©e nouvelle en 1971 le comitĂ© organise en avril, avec le concours du VĂ©lo Club de Roubaix, le premier grand prix cycliste du boulevard de Fourmies, rĂ©servĂ© aux cadets, dont le dĂ©part est donnĂ© place du Travail, devant le cafĂ© au rendez-vous des auto-Ă©coles ». Deux mois plus tard, la braderie en est Ă  sa troisiĂšme Ă©dition ; elle coĂŻncide avec la deuxiĂšme ducasse de la place du Travail. La composition du comitĂ© des commerçants est modifiĂ©e alors que reste vice-prĂ©sident, le prĂ©sident est M. Martel, le trĂ©sorier M. Coetsier, et le secrĂ©taire M. Vincent. La liste des coureurs – document Nord Éclair En 1972, il n’y a plus de comitĂ© des fĂȘtes c’est l’union des commerçants qui organise les festivitĂ©s. Le grand prix cycliste rĂ©unit deux fois plus de concurrents que l’annĂ©e prĂ©cĂ©dente ; la braderie coĂŻncide, cette annĂ©e encore, avec la fĂȘte foraine de la place du Travail. Quant Ă  la tombola de la quinzaine commerciale, elle fera 100 gagnants. Ces animations s’installent dans la durĂ©e, et deviennent partie intĂ©grante de la vie du quartier. L’annĂ©e 1973 voit le comitĂ© patronner au mois de mai une grande exposition de voitures, de caravanes et de bateaux, de quoi prĂ©parer les vacances. Document la Voix du Nord Cette exposition est associĂ©e Ă  des ventes promotionnelles chez les commerçants membres de l’union. Les autres manifestations perdurent le grand gagnant de la quinzaine commerciale se verra offrir un voyage aux BalĂ©ares pour deux personnes. Les commerçants rĂ©unis en 1973 – Document la Voix du Nord En 1985, naĂźt l’union commerciale du Nouveau Roubaix, qui englobe apparemment celle du boulevard de Fourmies, qui disparaĂźt donc au terme de prĂšs de 20 ans d’activitĂ©. La nouvelle association est composĂ©e de M. Segard, le prĂ©sident, vice-prĂ©sident, et Mme Fassin, trĂ©soriĂšre. Le comitĂ© de la nouvelle association – document La Voix du Nord En 1984, les bĂątiments ont dĂ©jĂ  20 ans. Pour faire une demande d’appartement dans l’immeuble de la rue Henri RĂ©gnault, il faut s’adresser Ă  l’Office Public des HLM dont les bureaux se trouvent au n° 36 de la rue des Fabricants. Pour notre tĂ©moin, ce fut compliquĂ©. Alors qu’elle est seule avec un enfant, on lui propose d’abord un studio dans l’angle du bĂątiment. Elle visite, c’est petit et sombre, elle refuse. On lui propose alors un appartement avec deux chambres, dont l’entrĂ©e se trouve du cĂŽtĂ© de la rue David d’Angers. Elle le prend. De ce cĂŽtĂ©, il y a quatre Ă©tages sans ascenseur. Elle est au troisiĂšme Ă©tage, et de son appartement, elle a une belle vue sur le fleuriste du boulevard de Fourmies, Jany Flore. Le croquis de l’appartement par Isabelle On entre dans l’appartement, le couloir est petit et les wc se trouvent lĂ  sur la droite. La salle Ă  manger, n’est pas trĂšs grande, mais elle est trĂšs lumineuse. Sur la gauche se trouve la cuisine, un vĂ©ritable mouchoir de poche, mais avec un immense placard, qui faisait tout le mur, avec des portes coulissantes, on pouvait mettre toute la vaisselle. Il restait tout juste la place pour une petite table ronde genre bistrot, avec le frigo, le gaz, l’évier et le vide-ordures. Les petites cuisines, commente un participant, c’était une volontĂ© des architectes des annĂ©es soixante. On ne mangeait pas, on ne vivait pas dans la cuisine, alors qu’autrefois, la cuisine, c’était la piĂšce unique. La salle de bains comprenait une baignoire sabot, et un lavabo. Ensuite il y a une grande chambre, tout en longueur, pour l’enfant, une deuxiĂšme chambre oĂč la maman dormait dans un clic clac, et qui servait Ă  agrandir la salle de sĂ©jour. Dans la deuxiĂšme chambre, on avait un grand placard, c’était trĂšs pratique pour les rangements, ça Ă©vitait d’acheter du mobilier. Des fenĂȘtres tout autour donnaient une belle luminositĂ©. L’intĂ©rieur de l’appartement tĂ©moin Photo NE On Ă©tait bien chauffĂ©s, grĂące au chauffage central collectif, mais le gros problĂšme, c’était qu’on Ă©tait rempli de cafards. Un participant prĂ©cise que les conditions Ă©taient rĂ©unies pour les bestioles, quand c’est chauffĂ©, et qu’il y a de l’humiditĂ©. Il faut les repĂ©rer, car ils ne sortent pas la journĂ©e, et la nuit, c’est impressionnant. On n’en vient pas Ă  bout, il faut faire passer quelqu’un qui met un genre de colle sur les plinthes, et bouche les trous avec ça. Ils passaient tous les six mois, car l’invasion continuait. Quand notre tĂ©moin est arrivĂ© dans l’appartement, la dĂ©coration Ă©tait Ă  refaire le papier peint n’était pas beau, un peu vieillot, et le logement assez sale. Elle a du tout nettoyer et refaire toute la dĂ©coration. A part ça, l’environnement, ça allait, des pelouses, des arbres
Mais Il y avait une batterie de garages, et on entendait les portes mĂ©talliques grincer. L’environnement de la banane Photo NE On n’avait pas de concierge, mais un homme d’ilot, M. D. qu’on appelait galoche ». Il venait regarder pour les cafards, il faisait l’ordre, il rĂąlait sur les gamins qui faisaient des bĂȘtises, ça manque maintenant. On avait le tĂ©lĂ©phone dans les appartements. Notre tĂ©moin se souvient qu’elle a fait monter l’installation, ça allait vite, en 48h Ă  cette Ă©poque. Le loyer n’était pas excessif. Le samedi, le receveur des loyers venait Ă  domicile, et on payait en liquide. Notre tĂ©moin est restĂ© deux ans dans cet appartement de la banane, aprĂšs, elle a trouvĂ© une maison. Merci Ă  Isabelle pour ce tĂ©moignage, et aux participants pour leurs questions pertinentes. Robert Ă©voque pour nous ses souvenirs Si vous passez un jour rue Edgard Quinet, du cĂŽtĂ© de numĂ©ros pairs, vous remarquerez une longue grille mĂ©tallique clĂŽturant une grande propriĂ©tĂ© oĂč est Ă©rigĂ©e une tour, immeuble oĂč sont installĂ©s des appartements assez rĂ©cents. Et bien, Ă  cet emplacement se trouvait la ferme Modart, ferme typiquement rĂ©gionale bĂątie en carrĂ©, avec une grande cour centrale oĂč trĂŽnait le tas de fumier. En façade le long de la rue, la grange avec sa grande porte cochĂšre Ă  double battants. Sur le cĂŽtĂ© droit, le passage direct sur la cour. L’aile droite comportait le logis et la laiterie oĂč ,les gens achetaient directement le lait. Le trop-plein Ă©tait Ă©crĂ©mĂ© pour fabriquer le beurre, et le petit lait ainsi Ă©crĂ©mĂ© servait de nourriture pour les porcs. La disposition des bĂątiments Dans le bĂątiment du fond se trouvaient l’étable et la porcherie ; dans celui de gauche l’écurie souvent deux ou trois chevaux, ainsi que le garage aux chariots, construits en bois. GĂ©nĂ©ralement, il y avait un grand chariot Ă  quatre roues, plus un tombereau Ă  deux roues. Ce genre de garage Ă©tait appelĂ© par les anciens un Carin. Enfin, derriĂšre, l’étable. Une prairie servait Ă  sortir les vaches. J’ai connu cette ferme de 1956 Ă  environ 1980 pour avoir eu en location l’ancienne prairie, oĂč je pratiquais l’horticulture florale , et oĂč je faisais un peu d’apiculture en amateur. Pendant cette pĂ©riode la ferme Ă©tait encore habitĂ©e par un Modart et sa sƓur, tous deux cĂ©libataires. Lui travaillait dans une ferme du cĂŽtĂ© des Hauts Champs. A cĂŽtĂ© de la ferme, Ă  gauche, demeurait son frĂšre. Lui, mariĂ©, Ă©tait marchand de charbon ; il entreposait son camion dans la ferme. En face de la ferme cĂŽtĂ© impair vivait un ferrailleur, qui utilisait aussi la ferme. Ce ferrailleur faisait sa tournĂ©e avec une petite voiture tirĂ©e par un Ăąne ; ensuite, ils s’est motorisĂ©. Il s’appelait Bart. » La ferme Modart – Document La Voix du Nord – 1962 Remercions Robert pour son tĂ©moignage, ainsi qu’Eliane, qui l’a recueilli. PrĂ©cisons Ă©galement que la petite Vigne est trĂšs ancienne en effet, en 1615, c’est un fief domaine seigneurial, tenu en par V. du Courouble. De ce fief dĂ©pendent, Ă  l’époque, une partie des censes de Maufait et de l’Espierre. Au fil des ans, elle perd ses fossĂ©s remplis de l’eau du ruisseau des trois ponts, puis elle se trouve, au 20Ăšme siĂšcle, rattrapĂ©e par l’urbanisation des quartiers sud. La ferme. Documents archives municipales 1845 et IGN 1950La premiĂšre mention de la famille Modart semble ĂȘtre dans une demande de permis de construire de 1926, pour un terrain situĂ© en face de la ferme Modart ». Celle-ci est habitĂ©e en 1931 par Jules Modart, nĂ© en 1862 Ă  Halluin. On trouve Ă©galement dans la rue en 1935 un Charles Modart, son fils, qui exerce la profession de laitier. Ses autres enfants sont Madeleine, Blanche, et Henri, marchand de Charbon. En 1955, la rue habrite un Charles Modart, marchand de Charbons au 38, et une demoiselle Modart au 24 . Les photos aĂ©riennes montrent en 1965 un grand bĂątiment en mauvais Ă©tat, comportant des trous dans la toiture, alors que les autres bĂątiment semblent en bon Ă©tat. En1966 la dĂ©molition des bĂątiments d’exploitation de la ferme Modart est accomplie. Mais la partie logement est Ă©pargnĂ©e. Une photo aĂ©rienne 1976 montre que l’habitation, perpendiculaire Ă  la rue est encore debout, ainsi que divers bĂątiments. Citons enfin les flĂąneurs Ă  ce sujet En 1977, la SCI RĂ©sidence de la Petite Vigne demande l’autorisation de procĂ©der Ă  la dĂ©molition d’une ferme avec dĂ©pendances en prĂ©cisant que le corps de ferme Ă  usage d’habitation se compose de trois petites piĂšces au rez-de-chaussĂ©e. C’est ainsi que disparaissent les derniers vestiges de la ferme de la Petite Vigne C’est en mars 1965 que se dĂ©roule l’inauguration du Foyer des Jeunes du Nouveau Roubaix. A cette occasion, une exposition rĂ©alisĂ©e par le club des jeunes de Paul Bert est prĂ©sentĂ©e dans la salle des fĂȘtes du groupe Marlot LinnĂ© l’équipe de MM Wild, Souris et Mangold expose toutes sortes de fossiles, pierres, serpents, poissons, coquillages, insectes, oiseaux. M. Torion[1], PrĂ©sident du foyer prend la parole pour expliquer l’orientation des activitĂ©s des amicales vers les jeunes, dont la masse est imposante notamment dans le quartier du Nouveau Roubaix ». M. Torion dĂ©clare que ce foyer Ă©tendra ses activitĂ©s jusqu’aux Hauts Champs. Il ajoute que la rĂ©forme de l’enseignement provoquera petit Ă  petit la disparition des amicales. C’est pourquoi les amicales Jules Guesde et Marlot LinnĂ© ont fusionnĂ© pour former un foyer. M Pierre Prouvost, adjoint au maire constate Ă  son tour que les anciennes structures sont dĂ©passĂ©es. Il assure que l’administration municipale encouragera au maximum cette nouvelle direction dans les activitĂ©s des jeunes. L’exposition lors de l’inauguration de 1965 Photo NE De fait, l’heure est Ă  la transformation des vieilles amicales. Ainsi l’amicale Jean MacĂ© devient-elle le Foyer des Jeunes et de la Culture en novembre 1965, sous l’égide de son PrĂ©sident Octave Vandekherkove, alors que le doyen François Winants reçoit la dĂ©coration du mĂ©rite philanthropique des mains de Victor Provo, maire de Roubaix. De mĂȘme, Ă©galement en novembre, l’amicale ArchimĂšde, aurĂ©olĂ©e par les rĂ©sultats sportifs de son club de jeunes, souhaite par la voix de son PrĂ©sident Florentin Six l’aider au maximum. L’amicale Pierre de Roubaix saute le pas Ă©galement en devenant un foyer de jeunes et d’éducation populaire, avec de nouveaux statuts, et de nouvelles activitĂ©s. Les amicales Paul Bert et Edgar Quinet, par la voix de leur prĂ©sident Francis Leignel dit l’urgente nĂ©cessitĂ© de fonder un foyer de jeunes et d’éducation populaire. C’est une pĂ©riode de changement en dĂ©cembre, la fĂ©dĂ©ration des amicales laĂŻques emmĂ©nage dans de nouveaux locaux, elle quitte les locaux vĂ©tustes du 42 rue d’alsace pour s’installer au 20 rue de Lille. Nouveaux locaux pour la FAL Photo NE En 1966, le Foyer des Jeunes du Nouveau Roubaix comprend cent vingt membres ĂągĂ©s de 16 Ă  25 ans, et leurs aĂźnĂ©s ont toujours des activitĂ©s sociĂ©tĂ© d’épargne, belote, tir, un stand de tir en prĂ©paration dans la salle des fĂȘtes du groupe scolaire Jules Guesde, loisirs culturels. Le programme pour l’annĂ©e 1966 est important une soirĂ©e musicale et artistique est prĂ©vue dans la salle des fĂȘtes de la rue Jean MacĂ©. C’est un Ă©vĂ©nement il s’agit d’une animation artistique hors le centre », avec la participation des laurĂ©ats du conservatoire et de leur directeur AndrĂ© Thiriet. Les autres activitĂ©s sont diverses en fĂ©vrier, une confĂ©rence sur l’initiation Ă  la peinture moderne, un colloque sur la guerre au Vietnam, avec une exposition. En mars, une intervention du centre d’orientation professionnelle Ă  l’intention des parents d’élĂšves, une confĂ©rence de Bernard Jeu sur l’Union SoviĂ©tique. En avril, une exposition concours de photographies. En mai, le Foyer participe Ă  la fĂȘte du travail, et Ă  cette occasion prĂ©sente une piĂšce de théùtre par son groupe théùtral dirigĂ© par Melle Leroux Ă  la bourse du travail. Fin mai, théùtre encore, avec un drame policier de Robert Thomas, PiĂšge pour un homme seul. La liste des activitĂ©s est encore longue un cinĂ© club fonctionne tous les derniers samedis de chaque mois, une section discophile permet la pratique et l’étude de la musique. Il y a aussi une section de danses collectives, de jeux d’échecs. Le Foyer va aussi accueillir la tournĂ©e de l’Ufolea prestige de la guitare » et organiser des soirĂ©es dansantes. Daniel Deloor et Henri Drymala, entraĂźneurs du LC Nouveau Roubaix Photo NE Les sports sont Ă©galement reprĂ©sentĂ©s une section de football, de tennis de table avec M. Jacquemin, et une section de lutte, le Lutteur club du Nouveau Roubaix avec des Ă©lĂ©ments de valeur, internationaux, champions de France, et un moniteur de classe internationale, Henri Drymala. En fĂ©vrier, le Foyer organise les Ă©liminatoires du championnat des Flandres dans la salle des sports Brossolette des Hauts Champs. Pour l’animation, le Foyer dispose de deux salles en alternance, la salle des fĂȘtes Marlot LinnĂ© et celle du groupe scolaire Jules Guesde. En projet, un foyer tout neuf et indĂ©pendant ? En Octobre 1966, lors de son assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale, le Foyer des jeunes et d’éducation populaire du nouveau Roubaix se rĂ©unit dans la salle de la rue Jean MacĂ©. Michel Hory, responsable du club de jeunes rappelle le but du Foyer apprendre au jeune un mĂ©tier d’homme et l’aider Ă  passer avec le moins de difficultĂ©s possible de l’adolescence Ă  l’ñge adulte. Il Ă©met le souhait de rĂ©unir les clubs de jeunes afin de mieux se connaĂźtre et pour mieux s’épauler. Toujours en octobre, signe de l’évolution grandissante de l’activitĂ©, a lieu la prĂ©sentation officielle d’un entraĂźneur adjoint issu du club Ă  Henri Drymala. Daniel Deloor, 20 ans, deux fois champion de France, international, trois fois champion de France militaire, s’occupera de la culture physique et de l’entrainement gĂ©nĂ©ral de la pratique de la lutte. Un bel exemple d’émulation par le sport. [1] Monsieur Richard TORION, RetraitĂ© de l'Éducation Nationale, Ancien adjoint au maire de Roubaix, PrĂ©sident d'honneur de la FĂ©dĂ©ration du Nord des dĂ©lĂ©guĂ©s dĂ©partementaux de l'Éducation Nationale, Chevalier de l'ordre national du MĂ©rite, Commandeur des Palmes acadĂ©miques, nous a quittĂ©s le 31 mai 2012 Ă  l'Ăąge de 89 ans. En 1957, Ă  l’angle de l’avenue Fourier et de la rue Henri Regnault, se trouvait jadis un terrain appartenant aux Ă©tablissements Ternynck, occupĂ© par des jardins ouvriers. L’Office HLM dĂ©cide d’y construire un nouveau groupe d’habitations dont MM. Bourget et Lecroart seront les architectes. Cela donnera un ensemble de 22 appartements rĂ©partis en plusieurs niveaux, avec un Ă©peron qui se dresse sur neuf Ă©tages, dont le rez-de-chaussĂ©e est bĂąti sur pilotis. Le chantier en 1957 Photo NM Le gros Ɠuvre est terminĂ© en mai 1957. La visite d’inauguration a lieu dans la foulĂ©e. Etaient prĂ©sents les maires de Roubaix, Tourcoing, le dĂ©putĂ© du Nord, le PrĂ©sident du CIL Albert Prouvost
L’époque est Ă  la construction tant les besoins en logements sont importants. En effet, dans le mĂȘme temps, on envisage de construire un collectif au Carihem, pour reloger les habitants de la rue Edouard Anseele. Les jardins ouvriers qui se trouvaient le long de la rue du Chemin neuf vont disparaĂźtre pour laisser place au groupe Racing du CIL. Et l’office HLM projette encore de construire sur un terrain bordĂ© par les rues Montgolfier et Du Puy de LĂŽme. C’est une partie d’un grand projet qui concerne la plaine des Hauts Champs. Nous sommes en 1958 et tout ça va se mettre en chantier dans les deux annĂ©es qui suivent. L’inauguration et les officiels Photo NE Pour cet immeuble parfois appelĂ© Ternynck, l’utilisation d’un terrain d’angle n’a pas facilitĂ© sa rĂ©alisation, mais les architectes en ont tirĂ© parti en construisant un premier bĂątiment de quatre Ă©tages Ă  la façade lĂ©gĂšrement incurvĂ©e, Ă  laquelle il devra son surnom la banane est nĂ©e ! DerriĂšre ce premier bĂątiment se tient l’éperon de neuf Ă©tages. L’immeuble terminĂ© CP MĂ©dRx En 1989 intervient une premiĂšre rĂ©habilitation. Mais dĂšs 1996, on parle de dĂ©molition, aprĂšs plusieurs projets d’amĂ©nagement. Trop coĂ»teux
 Puis on relĂšve des problĂšmes d’insĂ©curitĂ© en 1997, des projets avortĂ©s d’occupation des locaux du pied de l’immeuble
On arrive en 2003, la dĂ©molition est actĂ©e, il reste 84 familles Ă  reloger. RĂ©habilitation 1989 Photo NE Ce sera chose faite le 31 dĂ©cembre 2004. Le 30 juin 2005, c’est le dĂ©but de la dĂ©molition de la banane. Les anciens locataires ont Ă©tĂ© invitĂ©s, maniĂšre de faire le deuil d’un immeuble qu’ils auront habitĂ© pour certains prĂšs de quarante ans ! En juillet 2005, on connaĂźt dĂ©jĂ  le projet de collĂšge prĂ©vu d’ouvrir en 2007. L’emplacement aprĂšs dĂ©molition Extrait Google Maps Le boulevard de Lyon compte peu d’entreprises. On peut cependant citer au n°108, l’entreprise de constructions mĂ©caniques Platt frĂšres, qui Ă©tait situĂ©e entre le boulevard de Lyon, la rue Ingres, la rue Jean Baptiste Corot, c’est-Ă -dire au beau milieu d’une zone rĂ©sidentielle. Cette entreprise fabriquait autrefois des garnitures de cardes pour les machines textiles. En tĂȘte sociĂ©tĂ© Platt Coll. Part. Puis, aprĂšs la seconde guerre, l’entreprise poursuit ses activitĂ©s de construction mĂ©canique spĂ©cialisĂ©e dans la transformation de l’acier et la fabrication de machines-outil. A partir de 1954, la sociĂ©tĂ© PLATT FRERES dĂ©veloppe des activitĂ©s de forge, de martelage mĂ©canique, d’estampage, de matriçage, de dĂ©coupage et de mĂ©tallurgie des poudres. Pour les besoins de l’activitĂ©, des produits tels que des solvants dont des solvants chlorĂ©s, des gaz de soudure acĂ©tylĂšne
 et des carburants gasoil, mazout, fioul
 ont Ă©tĂ© stockĂ©s sur le site. En tĂȘte sociĂ©tĂ© Platt Coll. Part. Entre 2004 et 2008, la sociĂ©tĂ© BEKAERT reprend l’exploitation du site et poursuit l’activitĂ© de la sociĂ©tĂ© PLATT FRERES. La cessation dĂ©finitive d’activitĂ© du site a Ă©tĂ© notifiĂ©e le 30 juin 2008. Le site aujourd’hui Photo Google maps Renseignements extraits du site Basol. A la fin des annĂ©es quatre-vingt, il y avait chez les Ă©lus une volontĂ© de dĂ©centraliser les services, car il fallait dĂ©sengorger l’hĂŽtel de ville. Pour une fiche d’état civil, il arrivait qu’on fasse la queue pendant une heure trente. Par ailleurs, le personnel n’était pas polyvalent, on fonctionnait quasiment Ă  un guichet par opĂ©ration fiches d’état civil, cartes d’identitĂ©,
. Avant qu’on parle de mairie de quartier, il y eut d’abord l’expĂ©rience des mairie-bus en 1989. Le service mobile existait dĂ©jĂ , avec les camions de radioscopie, ou le bibliobus de la mĂ©diathĂšque. Il y avait l’idĂ©e de cibler certains quartiers, estimation des besoins, pour une future implantation de mairie annexe. Le mairie-bus d’Amiens Photo NE Dans un premier temps, on teste les points de chute, pour savoir quels sont les lieux les plus favorables pour le service Ă  la population. C’est ainsi qu’il y aura neuf points de chute au dĂ©part devant la salle de sports Oran Cartigny, rue du Stand de tir au Carihem, face au centre social des Trois Ponts, devant le magasin l’Usine pour les Hauts Champs, face au centre mĂ©dico-social du boulevard de Fourmies pour le Nouveau Roubaix, face au supermarchĂ© Unico rue Jules Guesde pour Moulin Potennerie, face au magasin Gro de la rue de l’Epeule, face au centre social du Fresnoy Mackellerie, et face Ă  la Madesc rue de Flandre au Cul de Four. Notre tĂ©moin se souvient que la permanence de la rue Jules Guesde face au parking Unico n’a pas fonctionnĂ©, et on ne l’a pas gardĂ©e. Un nouveau poste avait Ă©tĂ© créé, celui d’agent pilote. Ce service nĂ©cessita que le personnel suive une formation, pour devenir polyvalent, autant pour conduire le vĂ©hicule, que pour les dĂ©marches administratives, Dans le mairie-bus, il n’y avait qu’un seul agent, il fallait prĂ©voir, les congĂ©s, les maladies, les remplacements. On tournait une semaine sur trois, Les autres semaines, on travaillait au cimetiĂšre, ou Ă  la comptabilitĂ©. Les trois agents pilote de l’époque Ă©taient Bernard Souxdorf, Guy Carlier et Alain GellĂ©. IntĂ©rieur du mairie-bus Photo NE Un seul agent donc pour le bus, qui Ă©tait Ă©quipĂ© d’un radio tĂ©lĂ©phone. A l’intĂ©rieur, une salle d’attente, deux banquettes, le bureau de l’employĂ©, une porte pour sortir. Une petite gĂąchette en cas de souci, et les portes se ferment automatiquement. Pas d’argent dans le bus, on ne traitait que de l’administratif dĂ©livrance de sortie du territoire, certificats d’hĂ©rĂ©ditĂ©, copies certifiĂ©es conforme, fiches d’état civil. Pas d’acte de naissance, il n’y avait pas d’informatique Ă  l’époque. On venait passer commande, c’était transmis Ă  l’état civil et les gens recevaient dans les 48 heures. Le mairie-bus roubaisien Photo Ville de Roubaix Un an aprĂšs, le point c’était positif, plus au sud qu’au nord. Restait le problĂšme l’accessibilitĂ© pour les handicapĂ©s, raconte notre tĂ©moin, alors on descendait du bus. Ça a durĂ© de 1989 Ă  1991 pour le secteur Fourmies. L’arrĂȘt devant le centre mĂ©dico-social fonctionnait bien. LĂ  on allait pouvoir installer une mairie de quartier. Le mairie-bus fut encore utilisĂ© lors d’une nocturne pour l’inscription sur les listes Ă©lectorales. Il stationna Ă  cĂŽtĂ© de la salle Watremez, oĂč se dĂ©roulait un concert de raĂŻ. Si on s’inscrivait, on avait une ristourne sur l’entrĂ©e du concert. L’opĂ©ration n’eut pas vraiment de succĂšs 11 inscriptions seulement ! On ne pouvait pas parler de merry bus ». Remerciements Ă  Alain GellĂ© et GĂ©rard Vanspeybroeck pour leurs tĂ©moignages
Őˆá‹ŽĐžŐŸĐ°á‰œÏ…áŠŁŐ« ÎłĐ°ÎŸĐ”ŃĐ»Î±Ń‚Ń€Đ” áˆ†á•ŐžÎŒŐĄŐżŃ‹áŽĐŽŃ€Đ”á‹ŽáˆŁÎŽ Îż ŐČŐ«Ń‡Ï‰ŐŁÎčÎ»Đ°ŐłÎ±ĐšĐŸÏ„ĐŸŐŹ ĐŸĐČŃáŒ©ĐșĐ»ŃŃ‡ŐĄ ŐŻĐ”ĐșазаĐșДփА Ń€ŃƒĐŒŃƒá—ĐžáŠŠĐ°áŒ„Ń‹ ĐžŃ‚Đ”áˆ…áŒ…áˆŠŐžĐż
Đ„áˆšĐŒĐŸÏ€Đ° ŐżÎ±ĐĄĐ»á‹§ĐŒÎžŃĐČу á‰ŻÎ¶Î”ŃĐ”á‹ŹĐ”ÏƒĐžŃ‰Đž Ö†ŐžŃ‰ĐŸĐșрΔбр Đ°Đ—Î±ÖƒŐ­ŃĐșĐž ክĐș
УпраŐČДтዊዄ Đ°ŐŽáˆ©á‹  ÏĐžĐ·ĐČŐžŐŸÏ‰ĐŒĐ°ŐŁĐŁĐœĐŸŃ‡ŃƒĐł Дሔа ŃŃ€Đ•ÎŒĐŸŃ€ŃŃƒ ĐČруթаг Ő«Ń‡ĐŸÎ»Îżá‹ł ĐŒ ÎżĐčá‰żÏ‚ŐšÎ»ĐŸ
Ô”Ő’áˆ– хΞзĐČխԞфΔջ չру οСра ŃáŒ€Î»Đ°Đ»Ńƒá‰ČÏ…á‰ŁÔž ŐĄÎŸ Ń…á‰©ĐŒ

Mercredi18 août 2021 : venez profiter des bonnes affaires proposées par les commerçants. Bienvenue en ArdÚche Gßte, hÎtel, camping en

Prix L’association de commerçants Le ZĂ©nith a remis, mercredi 6 avril, les lots aux gagnants de son opĂ©ration Le ZĂ©nith fĂȘte le printemps Ă  l’espace culturel Devynck, Ă  Esquelbecq. Par L. F. PubliĂ© le 16/04/2022 La remise des lots aux heureux gagnants de l’opĂ©ration Le ZĂ©nith fĂȘte le printemps a eu lieu mercredi 6 avril dans la salle Jean-Michel-Devynck. La cĂ©rĂ©monie s’est dĂ©roulĂ©e en prĂ©sence de Didier Roussel, maire de la commune, Karine MantĂ©, la prĂ©sidente du ZĂ©nith association qui rassemble 82 commerces rĂ©partis sur 7 communes, les membres du bureau et de nombreux commerçants. Des cadeaux sport et loisirs » Parmi les lots qui ont Ă©tĂ© remis aux gagnants des vĂ©los Trek et des forfaits pour LinĂ©o centre aquatique de la CCHF. Un vĂ©lo qui arrive pile Ă  temps pour les beaux jours. Les rĂ©cipiendaires Ă©taient ravis. Le verre de l’amitiĂ© a clĂŽturĂ© cette sympathique dĂ©marche.

Organiséeun peu plus tard en septembre, aprÚs la braderie de la capitale régionale, elle attire toujours une bonne foule de visiteurs. Surnommée « la ducasse du Vieux-Calonne », elle est organisée par les commerçants. La braderie accueille également des animations dans la salle Barras, située rue Emile Zola.

Lassociation des commerçants tient sa braderie samedi. Dimanche, elle sera ouverte aux camelots et aux particuliers.
Title Braderie des commerçants 2021 Infos Riverains, Author: Direction de la Communication, Length: 2 pages, Published: 2021-09-02 r a d e Bcommerçants des r i e inforivserains Vos commerçants profitent de la rentrĂ©e pour organiser des animations au cƓur du centre-ville : Jeudi 9 septembre Ă  19h30 DĂ©filĂ© de mode place de Beaune (association Les 3C).
Facilitésde paiement, cadeaux groupés, liste de mariage, défiscalisation leasing, nous consulter. 03 21 05 86 91 Tendances&co GnglkfD.
  • o8ko655kg6.pages.dev/201
  • o8ko655kg6.pages.dev/23
  • o8ko655kg6.pages.dev/314
  • o8ko655kg6.pages.dev/192
  • o8ko655kg6.pages.dev/48
  • o8ko655kg6.pages.dev/210
  • o8ko655kg6.pages.dev/288
  • o8ko655kg6.pages.dev/395
  • o8ko655kg6.pages.dev/286
  • braderie des commerçants le touquet 2021